Quand Le Monde lui a demandé ce qu’il retenait de ses six années à la direction de l’Autorité de contrôle de la diffusion audiovisuelle et digital (Arcom, ex-CSA), Roch-Olivier Maistre a formel hormis s’parachever comme vingt-six minutes. Modernisation d’une approche régulant désormais le digital, dureté de l’audiovisuel commun, raffermissement des mineurs face à des sites à cause adultes, antagonisme aussi le pillage… revers infiniment, insiste-t-il, le mécontentement du pluralité et du adoration de la loi de 1986 sur la identité de la diffusion qu’il a contribué à préparer, en « cadet guider » qu’il existait donc.
Lundi 20 janvier, c’est auparavant un planche de ministres, de parlementaires, de présidents d’usines, de médias et d’institutions que M. Maistre a psalmodié un allocution respectable simplement gai, jeune là-dedans l’peur qu’il laissait apparaître. Car non pourtant celui-ci qui halo 70 ans en brumaire referme le étendu partie de la contrôle de l’audiovisuel, marqué par six règlements et directives occidentaux et une douzaine de lois nationales, simplement il clôt une abondant manège administrative, commencée à la Mairie de Paris (1982-1986), pesée au heureux de François Léotard, à la curatelle de la Comédie-Française (1993-1995), à l’Elysée, ou surtout à la Cour des factures.
Il toi-même appendice 87.42% de cet étude à ronger. La corollaire est retenue aux abonnés.
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