Rugby : revers la confession nîmoise Valentin Tonin, “le RCN, c’est mon dancing, ma descendance, mes potes »

Joueur de l’obscurcissement premièrement, Valentin Tonin, carême 3e haie de 23 ans, s’est catastrophe, depuis le débarquement de la temps, une situation au tétine de l’fortifié flamme du RCN. D’dehors en autant que collaborateur modèle à quiconque de ses sorties, en ne rechignant oncques à la tâche. Avant de attente un tête et un guide fondé de la originelle. “Sur le terrain, il montre l’exemple. Il n’était pas prévu comme titulaire indiscutable”, reconnaît le responsable Guillaume Aguilar.

De “pas titulaire indiscutable” à guide

Bénéficiant d’un heure de jeu galant (11 magazines de divertissement laquelle contemporain titularisations), il a même gagné ses galons de guide à six reprises. Plusieurs raisons à cette hauteur rapide : “Les blessures, voire les contre-performances des autres capitaines (Barnerias, Phillips et Vialle, NDLR). Et puis Valentin a gagné en maturité, justifie Aguilar. Il a cette capacité à rester lucide et calme face à l’arbitre. Il est exemplaire dans le combat. Il a fait sa place avec sa capacité de se transcender sur le terrain. Son amour du maillot fait le reste“.

Le flanker a, il est avéré, ordinaire toutes les catégories au tétine du dancing nîmois : “J’ai débuté le rugby à 10 ans auprès de Serge Sassolat et Gérard Bantchik. Et si ce n’est que quelque mois en Espoirs à Angoulême, je n’ai connu que le RCN”. Une risque revers le responsable Steeve Calligaro : “Il a en lui l’ADN de notre club. En termes de communication, c’est un véritable atout, auprès de nos partenaires mais aussi du public de Kaufmann. Il te permet de raconter une belle histoire. Celle de la formation nîmoise si chère à nos supporters”.

“Ici, je vis précisément mon béguin du rugby »

Un relevé d’essence qui correspond au ludique. “Ce club me permet d’être, avec mes défauts et mes qualités, ce que je suis. De vivre pleinement mon amour du rugby, sans me prendre la tête, avec des joueurs comme Charles Robbe et Romain Darmon.” Mais quant à d’créature pour la sang d’ancestraux emblématiques qui ont été ses éducateurs, avec Nicolas Alcalde ou Tim Daniel. “J’ai voulu connaître un autre rugby à Angoulême, tenter ma chance à un niveau plus haut. Mais ce n’est pas mon truc. Pour moi, le rugby c’est avant tout une histoire de famille, de potes. Et mon club, c’est le RCN“, confie Tonin, nominé en fortifié de France professeur en 2024.

L’poster éclairé du ancestraux brisquard Michel Bérard, qui l’adoube

Des intention qui ne peuvent que soumettre le ancestraux brisquard Michel Bérard, qui en a vu marcher des joueurs… “C’est un 3e ligne grand côté. Plutôt coureur gratteur même s’il évolue constamment. Il me surprend par exemple dans sa qualité de sauteur. On le voit de plus en plus ballon en main. Et puis en tant que capitaine, c’est surtout quelqu’un qui prêche par l’exemple.” Un fonction qu’assume précisément le ludique. “Comment ne pas s’épanouir ? Avec le jeu pratiqué et l’entente qui règne dans le groupe, cela serait difficile de dire le contraire…”

Un ludique qui idolâtré, en bon 3e haie, les zones de “chocolat”, de affaire, icelle laquelle raffolent les affectionné du rugby nîmois. Un guide méritant de l’ADN du RCN, même si aujourd’hui il n’est pas surtout “le stratège de l’équipe. D’autres joueurs assurent cette tâche. Mais s’il continue sa progression, estime le technicien gardois, il peut avec plus d’expérience devenir de plus en plus déterminant sur ce facteur de la performance”.