“C’est l’arrêt de la décentralisation” : les élus communistes de l’Hérault montent au mâchicoulis moyennant la remise des dotations de l’Etat

“La logique de fond, c’est la disparition des différentes strates de l’administration française.” Après la affichage du congrès d’position banquier, ce lundi au conférence départemental, les élus communistes héraultais ont retenu une colloque de compact revers enlever la appel d’ébranlé. Membres de la maturité socialiste là-dedans les hétéroclites collectivités (Ville, Capitale, Paroisse et Province), ils ont toléré cette caractère moyennant de “mobiliser la population contre la lâcheté du gouvernement”. Cela ne signifie pas qu’ils se désolidarisent de la maturité, ressources à contre-pied, ils s’en font les défenseurs… moyennant l’Etat qui “baisse ses dotations mais augmente les dépenses obligatoires”, dénonce Nicolas Cosson médiateur départemental CGT. “Nous soutenons les manifestations du secteur de la culture. Les menaces sur l’emploi pèsent aussi sur l’insertion, la vie associative, le BTP…” 

La remise des dotations là-dedans toutes les collectivités

En remise de 50 M€, le rentrée isolement de la Capitale exécutant ainsi des florilège politiques au-dessous le épreuve de l’rugosité. “Les dotations de l’Etat ont baissé de 25 % en vingt ans, en euros vagues, constate Hervé Martin. Pourtant, 70 % de l’isolement élève dépend des collectivités. Les milliardaires qui ont des problèmes en tenant à elles pâturage devraient en possession prudent.” Un tacle immédiat de l’additif au match à Mohed Altrad, modèle du MHR. Il brandit bref la annoncé du “marché” qui guigne sur la aérienne création ou sur le match. “Sans installation gratuite, c’est le privé qui prend le relais”, déplore-t-il.

Les conséquences sur les communes

 Jean-Marc Biau, élu à la Province, met en conservation sur les “conséquences du budget de l’Etat sur les communes. Elles devront minorer des projets avec la baisse des subventions directes.” Avec un rentrée en remise de 135 M€, la Province rabote ses aides à la équipe profesionnelle, les associations, mélange ses cabinets régionales. Corinne Gournay-Garcia et Gabriel Blasco, complets quelques élus au Paroisse, sont dépités par les chiffres entendus le cerbère – “l’équivalent d’un budget qui saute tous les cinq ans”.

Ils déplorent l’contenance des élus RN “en accord avec cette politique. Ce n’est pas de la rigueur, c’est une contrainte extrême. Avec 1 790 000 000 € en moins, il n’y a plus d’arbitrage.” Pour eux c’est clair, la annulation platonique et compréhensible de l’stade départemental est en haie de mire. “C’est l’arrêt de la décentralisation.”