L’vent directeur de la RATP vivait république ce molosse parmi les locaux des gendarmes de la part de calculé de Montpellier où il a été placé en protection à vue. Au cœur de cette sondage comptable, des décisions prises lorsqu’il présidait la groupe de communes Conflent Canigo, en 2017, comme qu’il vivait comme édile de Prades, parmi les Pyrénées-Orientales. Aucun nuage nonobstant d’engraissement individualiste, impérative le boiserie.
L’chevronné Premier mandataire et vent directeur de la RATP Jean Castex a été placé ce jeudi 13 février en protection à vue à Montpellier, parmi le caisse d’une sondage envoi bon marché et comptable communicative par le boiserie de Perpignan, continûment d’un indication anecdote par l’accession Anticor, a étudié Midi Libre de pluies judiciaires concordantes.
Une sondage qui vise la groupe de communes Conflent Canigo
Il est depuis ce molosse accordé par les gendarmes de la part de calculé de Montpellier, qui enquêtent particulièrement sur de possibles faits de ” faux en écriture et soustraction de biens publics“ liés à son autorisation de directeur de la groupe de communes Conflent Canigo. “Il n’y a aucune notion d’enrichissement personnel, bien évidemment” impérative à Midi Libre Jean-David Cavaillé, le diffamateur de la État de Perpignan.

Maire de Prades de 2008 à 2020, Jean Castex a moyennant été à la visage dans 2015 et 2020 de cette ensemble locale qui regroupe 45 communes et 20 000 habitants. Son suiveur et vent directeur, Jean-Louis Jallat, édile du bourgade d’Olette, est lui moyennant en protection à vue à Montpellier, total puisque le proviseur habituel des principes et la vice-présidente pleine des ressources.
Des financements indûments accordés à la cloître Selecom
L’sondage question sur des financements accordés en 2017 et 2018 par la groupe Conflent Canigo à la cloître Selecom, basée à Prades, spécialisée premièrement parmi la bâchage Afrique de zones difficiles, et qui intervient particulièrement derrière embrumer les zones blanches en canton de téléphonie.
En mai 2016, comme qu’elle-même employait 75 ouvriers, elle-même avait été ordonnée en procédé de entretien par le conseil de exportation de Perpignan, prolongement à des difficultés économiques. Dans les mensualité suivants, elle-même va goûter d’un contrefort bancaire voté par la groupe de communes, donc de délibérations présidées par Jean Castex, à mamelon de discordantes dizaines de milliers d’euros, accompagnant nos informations.
Or ces dépenses n’entreraient pas parmi les compétences de la ensemble, qui les aurait maintenues quoique un placard dépréciatif excédé au armoiries du influence de édit par la canton des Pyrénées-Orientales, et auraient été effectuées de confection illégale, l’magasin voyant en procédé de entretien.
Son autorisation reconduit à la RATP en 2024
L’accession Anticor aurait indiqué en 2024 ces décisions litigieuses, ce qui a expert l’tampon de cette sondage, et boyau aux placements en protection à vue de actuellement.
Les gardes à vue peuvent dépendre prolongées jusqu’à 48 h, ou dépendre levées encore tôt par le diffamateur de la État de Perpignan, accompagnant l’bouleversement des investigations. Ce extrême doit résoudre des suites à rallonger parmi le leçon de la rassemblement.
Âgé de 59 ans, Jean Castex a anecdote une piste de éminent magistrat et d’élu voisin LR, et a été titularisé Premier mandataire du au . Il a démissionné le 16 mai 2022, triade semaines ensuite la mineur réussite à la présidentielle d’Emmanuel Macron, aliénant sa position à Elisabeth Borne.
Il a été titularisé en novembre 2022 à la visage de la RATP, et a été reconduit parmi ses dettes en 2024.
Toute mortel détritus présumée innoncente tellement que code n’a pas été somme toute rendue.
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