“J’avais un stress fou d’être à domicile.” L’Albigeoise Noémie Girot aventure écrouler les records aux championnats d’Europe de endurance fort

l’caractéristique
Jusqu’au 16 février, la hall du Cosec accueille les championnats d’Europe Masters de endurance fort. L’agrémenté de cette rivalité est Albigeoise. Il s’agit de Noémie Girot, qui a broyé des records de France et d’Europe. Et ceci, à 58 ans.

Derrière son dos, des mastodontes surmusclés se lancent pendant un rencontre revers des services monstrueuses, impossibles à relever d’un centimètre pile le petit des létaux. Nous sommeils pendant la hall du Cosec d’Albi, coin des championnats d’Europe Masters de endurance fort jusqu’au dimanche 16 février. Noémie Girot, sézig, est complet agréer. L’Albigeoise a aguerri sa rivalité en Master 2, mardi. Et lequel rivalité. “J’ai battu le record d’Europe et de France de Stap avec 142,5 kilos, ainsi que celui du soulevé de terre avec 177,5 kg. Le précédent record était de 175 kg. Au final, je suis première au total France et Europe.”

L’jouteur tarnaise est autre part d’individu une étrangère pendant le monde de la endurance fort. Le box-office essentiel le passion : cinq coup triomphatrice d’Europe, aussi de France, et quelques coup vice-championne du monde.

Une bibliothèque à trophées construite sur un intelligible courtage revers ses amies. “Au départ, se lancer dans la force athlétique n’était qu’un défi avec des copines. On voulait dépasser nos limites, aller toujours plus loin. J’ai dit que le jour où j’arriverai au championnat du monde, j’arrêterai.” Ce fut le cas. “J’ai fait un break durant 19 ans, avant de reprendre la force, il y a six ans.”

Cinq entraînements de trio heures par semaine

Son accroissement, sézig le décidé revers dureté et sérieux. “Je suis suivie par deux coachs, qui gèrent l’ensemble du calendrier de mes entraînements. C’est parfait pour moi. Je n’ai plus qu’à me focaliser sur le sportif.” Son familier, c’est cinq entraînements par semaine du lundi au vendredi, de 17 à 20 heures. Tout ceci, à 58 ans. “Je me repose les week-ends”, sourit-elle.

Seul le vacance moderne a dû individu moins détendant, les championnats d’Europe, pendant sa commune d’Albi, assimilable. “Mon dieu que j’étais stressée durant cette compétition. Ce n’est pas la même chose à l’extérieur même si on donne tout. Ici, il y a la famille, les copains, les amis de la force athlétique. Heureusement, ça s’est très bien passé.”

À 58 ans, sézig ne se comédie aucunes limites

Les records de Noémie Girot demandent une hygiène et une endurance de digit rescapé du petit : “Je mange de tout, même si, évidemment, je fais attention et ne me gave pas de pizza. J’ai besoin de beaucoup de protéines, car je brûle énormément de calories. Je perds vite des kilos.” Et le rôle, c’est orgueilleux pendant ce entraînement. “On est comme en boxe. On concourt par catégorie de poids. Moi, c’est dans les moins de 63 kg. A contrario d’autres athlètes, il faut que je mange beaucoup pour atteindre la limite et rester dans la course. Car si vous rendez des kilos, vous perdez en puissance.”

A 58 ans, l’progéniture s’force davantage auparavant sézig. “Franchement, la forme est là. Je peux continuer le haut niveau encore plusieurs années.” On ne peut que la combiner.

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