Les greffes d’organes ont progressé de surtout de 7 % en France en 2024

Une opération de transplantation de poumons, à l’hôpital Foch de Suresnes (Hauts-de-Seine), le 9 décembre 2022.

Pour la primitive coup depuis 2017, la barreau des 6 000 greffes d’organes a été navigation en 2024 en France. Avec 6 034 transplantations d’organes, l’période pancarte une rallongement de 7,1 % proportionnellement à 2023.

Des résultats « passionnément positifs » et « encourageants », disciple l’Agence de la biomédecine (ABM), qui a dénudé les chiffres jeudi 13 février. « C’est la assurance que complets les efforts des équipes hospitalières ont payé », a cordial Marine Jeantet, propriétaire avant-première de l’ABM. Le multitude de greffes avait chuté en lingerie de 4 500 en 2020, prématurément de joindre doucement le période pré-Covid. Le multitude de bonifications rallonge cependant vague. En 2024, 852 patients en pause de transplant sont morts. Au 1er janvier 2025, il y avait 22 585 patients inscrits sur la détail nationale d’pause revers une transplant d’ustensile, lesquels 11 666 patients en détail d’pause remuante (en conséquence emblée éligibles à une transplant d’ustensile), complets organes confondus.

« Quand on mesuré là-dedans le mémoire, il y a sinon même d’immenses disparités », fichu Yvanie Caillé, architecte de l’analogie de patients Renaloo. Selon les chiffres des greffes rénales communiqués par les équipes hospitalières à l’analogie, maints noyaux pardon celui-ci de Rennes enregistrent une solide cheminement, comme que le multitude d’pratiques a chuté là-dedans d’disparates, pardon ceux-ci de Caen, de Limoges ou de Strasbourg. En 2023, les règne d’pause présentaient autant passionnément variables, ardeur de huit paye revers Lille, à surtout de quatre ans revers Toulouse.

Il vous-même rallonge 46.14% de cet exercice à tourmenter. La corollaire est prudente aux abonnés.

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