La Cour des récapitulations a courbaturé son arbitrage entre le casier “retraites” : le carence devrait jouxter les 15 milliards d’euros en 2035 si aucune conte rétablissement n’est engagée. Les prévisions de la Cour des récapitulations au cobaye du carence sont moins importantes que celles qui avaient été esquissées par François Bayrou.
Le carence du ordre établi de retraites en France devrait jouxter 15 milliards d’euros en 2035 et 30 milliards d’euros en 2045, remplaçant les estimations de la “mission flash” de la Cour des récapitulations dévoilées ce jeudi 20 février. Après 6,6 milliards d’euros en 2025 alors une “stabilisation” jusque voisinage 2030, “les effets favorables sur l’équilibre du système liés à la réforme de 2023 devraient s’affaiblir, et le déficit global se dégrader nettement pour atteindre un montant de l’ordre de 15 milliards d’euros en 2035 et de 30 milliards en 2045”, remplaçant l’édification présidée par Pierre Moscovici.
A deviner quant à :
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Après des semaines de chicane sur le diapason du carence des retraites, jugé sous-estimé particulièrement par François Bayrou, Pierre Moscovici a par autre part réfuté l’concept d’un “déficit caché” lié aux retraites des fonctionnaires.
“Il n’existe aucun déficit caché des retraites des fonctionnaires”, exclusivement un duo de méthodes “différentes” vers calculer “la contribution de l’État pour équilibrer le régime de ses fonctionnaires” et une données “pas comparable” dans les régimes levant du élève et du particulier, a-t-il dit.
Plus d’informations à courser…
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