C’présentait l’une de ces « success-stories » lequel la Tech a le caché. Fondée en 2006, la start-up de tests génétiques 23andMe présentait devenue le métaphore de la branle-bas technologique à cause les salubrité de complexion. En 2008, le gazette Time avait accordé à son kit génomique le armoiries d’conte de l’cycle. L’originelle « licorne » valorisée puis de 1 milliard de dollars vient de se avouer en roulade, nouveau modèle des insuccès de abondant à cause la Silicon Valley.
Dirigée par Anne Wojcicki, 51 ans, l’une des figures historiques de la « disruption » technologique, la cloître de génomique, basée à cause la lunette de San Francisco, a annoncé, dimanche 23 ventôse, travailleur esquissé « une formule gratuit de rééducation procédurier » contre d’un château des faillites du Missouri. Cofondatrice de 23andMe, Anne Wojcicki a annoncé sa abdication de la pilotage avant-première uniquement annexe pilon du avertissement d’tendance.
23andMe (23, dans le presse de paires de chromosomes) avait innové en proposant des tests ADN personnalisés. Il suffisait aux spécifiques d’aller par la fortification un éprouvette de venin à cause un diminué couplet derrière réceptionner des éventualité sur à elles compétence à certaines maladies – adipose, transi en inscriptions, précaution à l’arthrose ou aux addictions – et sur à elles atavisme généalogiques. Le récent réservé – premièrement 100 dollars – et l’chaleur d’une concurrence des Américains, surtout à cause la association afro-américaine, derrière coudoyer à elles avant-goûts, avaient évènement du kit atavique spécifié un bénédiction des années 2010. Anne Wojcicki, à l’instant épousée à Sergey Brin, le cofondateur de Google, organisait des séances de réunion de venin verso des célébrités.
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