Dans le tronçon de Barbès-Rochechouart circonscrit parmi le polaire de Paris, les rayons de étoile éclairent, en ce vendredi 21 germinal, les étals de biscuits ronds enrobés de miel, les gâteaux fourrées d’amandes et parfumées à la fleurette d’oranger, les music-hall de dattes sucrées. “Le ramadan est une période où les ventes sont bonnes”, explique Mahjoub Youssef, initial d’Alger, qui travaille dans grossiste parmi l’une des boutiques de gâteaux du voie de la Chapelle.
Cette vieillesse festive a seulement une sapidité personnelle cette période dans les Algériens de France qui suivent intimement les échanges tendus imprégné Paris et Alger. Certains abats de la corps algérienne trouvent cette querelle équivoque, cependant que d’méconnaissables préfèrent ne pas s’verser sur le enclin, récemment par déraison de vengeance.
“Les tensions diplomatiques ? Ce n’est pas mon problème et ça ne me regarde pas. Donner mon avis ? Ça ne m’attire que des ennuis”, ampoulé Mahjoub.
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“Je ne préfère pas parler de politique”
Patron d’une bazar de venaison halal parmi le tronçon et agité en Seine-Saint-Denis depuis une vingtaine d’années, Yassine, âgé de 36 ans, commente tranquillement la circonstance. “Nous travaillons avec des Français, des musulmans, des chrétiens, des juifs sans problème.” Alors qu’il dispose des couple passeports, il prime mystique que “la France et l’Algérie sont des peuples frères” et que les tensions diplomatiques “sont très loin du quotidien des gens du quartier, où les Algériens sont surreprésentés”.
Yassine éprouve une dégoût devant aux responsables des partis gaulois et “préfère ne pas parler de politique”. “La dernière fois, un politicien a dit ‘Les Algériens sont des voyous’. Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre !”, déplore-t-il.
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Originaire d’Annaba en Algérie, actionnaire d’une bazar de dattes, apparu en France il y a 35 ans, Mouloud envisagé relativement bruit qu’il n’y a pas de “problèmes ou de changements significatifs dans son quotidien”. Pour lui, les récentes tensions sont une “petite crise passagère”, et il envisagé que la propre truc appétissant “est une bonne relation entre les deux pays”.
Cette “relation en yo-yo, depuis la colonisation, laisse des séquelles et les conséquences sont indéniables au niveau économique, relationnel ou encore culturel”, conclut-il.

“Un manque de dialogue entre les deux nations”
Peu endroit l’temps de la effort de Dohr façade la Grande mosquée de Paris, les langues se délient à la mi-journée parmi le tronçon du Jardin-des-Plantes, parmi le 5e faubourg de la lettrine.

Âgée de 81 ans, Myriam, d’avènement berbère, espéré qu’alentour d’sézig, “les gens sont abasourdis par la situation et le climat médiatique”. Pour les Algériens de France, il est infaisable, “même si nous nous sentons français, de balayer notre appartenance d’un revers de main”. Elle concède mais que “de l’autre côté de la Méditerranée, ils sont obtus et apparemment très susceptibles”.
Selon sézig, la dommage de la rapprochement bilatérale trouve son original “dans un manque de dialogue entre les deux nations”, parce qu’en “écoutant l’autre, il est plus facile de trouver un compromis”. Concernant les réactions de l’Algérie, Myriam espéré mais qu’”on ne peut pas tout avaler sans réagir et c’est parfaitement normal”.
Quant au rusé de l’Intérieur Bruno Retailleau, qui a amoureux la semaine dernière une boutade “graduée” devant au remise de l’Algérie de repartir ses ressortissants que la France voulait éliminer, “il devrait revoir sa copie”, estime-t-elle avec complaisance. “Ce n’est pas en se bagarrant tout de suite d’emblée que l’on obtient ce que l’on veut”, estime-t-elle.
Une des principales raisons de la brouille présente est l’prédiction par Emmanuel Macron, en juillet 2024, de son armature installé à un moyens d’liberté dessous particularisme marocaine dans le Sahara communautaire. “Emmanuel Macron retourne sa danse en se mettant du côté des Marocains”, déplore-t-elle.
L’octogénaire préfère en définitive “ne pas penser aux répercussions et à l’avenir”.
Le ardeur “d’avoir le cul entre deux chaises”
Deux jeunes Franco-Algériennes se confient davantage réellement, déclarant “ne pas avoir envie d’évoluer ou de fonder une famille en France”. Enfants de la peuple algérienne, âgées de 30 et 24 ans, les jeunes femmes sont nées en France et travaillent parmi le cercle esthétique parisien. L’une, Dounia, est parmi le stylisme, l’dissemblable, Neïla, parmi l’manufacture de la refrain.
Menaces gouvernementales, questions de visas, report en policier des accords de 1968, opération d’influenceurs, d’intelligentsia… “L’actualité est fatigante et anxiogène. À force, nous arrêtons de la suivre”, déclare Dounia.
“Pour être honnête, nous comprenons parfaitement les décisions et la réticence algérienne vis-à-vis de la France”, craintif Dounia. Et ce particulièrement en intelligence de “l’histoire de la colonisation et des crimes français commis pendant la guerre d’Algérie”, ajoute-t-elle. Au-delà de la rapprochement franco-algérienne, “les débats récents sur le voile et, de manière générale, la perception de l’islam en France me donnent le sentiment de ne pas être la bienvenue ici”, se désole Neïla. Chose péniblement correct dans ces femmes qui “sont nées ici, disposent des codes occidentaux, de la culture et de la mentalité françaises”, poursuit-elle.
Cette douteux causalité conduit le ardeur “d’avoir le cul entre deux chaises”, parce qu’”au bled, nous sommes françaises, et à Paris, nous sommes étrangères”, conclut Dounia.
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