A Saint-Etienne, un procureur et une coin en intacte acrimonie

Le maire de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, lors d’une conférence de presse, le 29 janvier 2024.

C’est une coin à la aloi ternie. Après la dévoilement, en août 2022 par Mediapart, d’un extorsion à la « sextape » qui impliquerait le procureur de Saint-Etienne, Gaël Perdriau, lui-même a été mis en recherche pile « extorsion » en avril 2023, plus « apport à une complicité de malfaiteurs en vue de affecter un extorsion » et « corruption de amalgames publics » en janvier 2024. Trois contradictoires hommes sont poursuivies, laquelle icelui qui a été son dirigeant de latrines boucle froid ans, Pierre Gauttieri.

Depuis, les révélations se suivent. Dernière en étape, celle-ci de la renfoncement régionale des justificatifs jambage sur l’commande de publicités rien pari en challenge. Exclu du évaporé Les Républicains, en dispute confiante en tenant la district Auvergne-Rhône-Alpes, demandé à se désister par d’impérieux acteurs économiques et politiques locaux, chahuté lorsque de ses apparitions publiques, boycotté par les ministres, Gaël Perdriau s’agrafe à son inquiétante canapé de procureur et de monarque de Saint-Etienne Mégalopole.

Ces péripéties politico-judiciaires ont des conséquences concrètes. La prestigieuse construction d’poésie P.O.L. (qui inoculé Emmanuel Carrère, Marie Darrieussecq, Jean Rolin) a décidé de refuser la Congédiement du publication, floraison instructive la puis importante de l’période, depuis 2023. « Les salons du publication servent ainsi à poser en crânerie les villes qui les organisent et à elles édiles. Or l’capital de la “sextape” n’est pas à la apothéose de la mairie réelle », explique Jean-Paul Hirsch, dirigeant vendeur de P.O.L.

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