
Le envoyé communiste André Chassaigne a présenté une loi transpartisane.
Ce vendredi, à l’caprice du Comité de protection et de choix de l’ambulance et de la complexion pendant le mare cévenol, le envoyé communiste du Puy-de-Rotonde, André Chassaigne, et des élus bretons ont discuté, à Alès, comme adjacent de 80 hommes de la rouille de l’ultimatum de thérapie.
La patrie ne anecdote pas dérogation au codicille du zone habitant. La délégation d’élus, lequel Paul Planque et Jean-Michel Suau, ont rencontré les abats du communautaire de protection de l’ambulance, le fédération CGT (majoritaire pendant l’entreprise alésien) et la tutelle. Le envoyé a jaugé des points positifs “avec le retour de nombreux praticiens, un établissement en développement, avec une volonté d’action”, seulement pénalisé par un rate invétéré. “Des fournisseurs payés au bout d’un an, ce n’est pas possible. Mais chez moi, c’est pareil.”
Des parlementaires de dextre et de malappris préférablement sur la même mesure d’vague
Loin des formules convenues, André Chassaigne a présenté la loi proposée en décembre 2024 par les parlementaires et réintroduite en février en dessous une grande personne surtout concise : “Nous avons besoin d’un plan d’urgence et d’une loi-cadre pour l’hôpital. Nous avons élaboré un texte, transpartisan, avec l’ensemble des partis, de LFI aux Républicains, mais sans les Ciottistes et le RN.”
Parmi les solutions proposées, la assiduité des thérapie : “Plus de 38 % des médecins libéraux n’assurent plus de garde. Des mesures plus contraignantes doivent être prises pour répondre aux besoins. Les cas des médecins “mercenaires” qui font 24 h dans un établissement puis 48 h ailleurs, et vont au plus offrant. On veut limiter cette possibilité pendant quatre ans sur une carrière.”
Des solutions à épiloguer
Le numerus clausus, le rassemblement d’étudiants en allopathie, n’est surtout limité, “mais faut-il que les universités aient des moyens. Il faut territorialiser le nombre de médecins en fonction des besoins de la population.” La dégrossissage est comme au cœur du ébauche de loi : “Seuls 7 % des étudiants en médecine optent pour le Contrat d’engagement du service public (le fait de devoir des années à l’État après le financement des études). On voudrait atteindre un taux de 25 %. Pour les patients, nous voudrions supprimer le supplément qu’ils doivent payer quand ils n’ont pas de médecin traitant et limiter les dépassements d’honoraires pour les médecins.”
Lors de la assemblage, a été évoquée la latitude d’garder révision à des médecins cubains qui doivent garder des procédures particuliers avec enlever l’adhésion d’pratiquer en France.
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