Affrontements dans militants d’insupportable ouverte et “antifas” à la fac d’Albi : l’combat prend une expression machiavélisme

l’fondamental
Moins d’une semaine alors la altercation qui a éclaté sur le campus de l’INU Champollion d’Albi dans des militants d’insupportable ouverte et des antifas, de nombreuses suffrage politiques et syndicales se font ouïr. Les condamnations sont généraux.

Après la orage, l’écoeurement. Les élections à l’INU Champollion d’Albi ont été le poésie de viol la semaine dernière. Alors que les étudiants votaient derrière désigner à elles représentants aux conseils centraux, une fougueuse chamaillerie a éclaté précédemment le restau professeur. Le débat ballonné a contraire des militants de la Cocarde Agrégative, fédération d’insupportable ouverte obtenant remplacé l’UNI à Albi, à ceux-là d’une nomenclature opposante, intense spécialement par les Étudiants CGT.

La maréchaussée est intervenue, capital qu’aucune critique n’ait été déposée. L’litige s’enregistré là-dedans un milieu de tensions croissantes dans militants d’insupportable ouverte et d’insupportable bête. Selon des témoins, des abattis de Patria Albiges seraient venus renforcer la Cocarde Agrégative, stimulant des affrontements oraux puis des étudiants et du égotiste. La Cocarde certifié garder été attaquée alors d’un tractage, alors qu’miss accuse l’insupportable bête d’garder férocement agressé un de ses militants à son toit le 14 ventôse. La extension en bord d’informations personnelles sur des militants de bête a souligné le milieu de poussée sur le campus.

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Si la sens a promis rigoureusement ces moeurs, déplorant également “la présence répétée de groupuscules radicaux, sur ou aux abords du campus, dont l’ingérence dans ces évènements et plus globalement dans la vie du campus ne peut être tolérée”, l’combat semble aujourd’hui employer une expression machiavélisme puis les réactions de luxuriant partis de bête et syndicats.

Des élus demandent la bassesse de Patria Albiges

“Je condamne avec la plus grande fermeté l’attaque survenue à l’université Champollion d’Albi […] s’attaquant à un scrutin, l’extrême droite révèle son vrai visage : celui d’un courant antidémocratique qui ne prospère que par la violence, les menaces et les intimidations”, s’est par conséquent positif la députée LFI de la 2e province du Tarn. Et d’additionner : “Je dénonce également la collusion entre le mouvement de jeunesse du Rassemblement National (le RNJ), Patria Albiges, l’UNI et La Cocarde, qui mêlent organisations étudiantes, parti politique et groupuscule fasciste”.

La police est intervenue, bien qu’aucune plainte n’ait été déposée après la rixe du 18 mars à la faculté.
La maréchaussée est intervenue, capital qu’aucune critique n’ait été déposée alors la altercation du 18 ventôse à la intelligence.
DDM – EMILIE CAYRE

Plusieurs syndicats, lequel la CGT, ont vendu la intimidation que représente l’insupportable ouverte derrière la tranquillité des étudiants. “Nous exigeons que l’État, la police et la justice prennent leurs responsabilités et mettent un terme aux agissements de ces groupuscules. Nous exigeons la dissolution de Patria Albiges et de la Cocarde Étudiante. Les auteurs de ces agressions doivent être poursuivis et jugés.”

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“Ces violences, qui se sont produites après plusieurs épisodes d’ingérences, sur et aux abords du campus, n’ont pas leur place au sein de l’université, et doivent cesser immédiatement, afin d’éviter une escalade inquiétante et une dérive idéologique, préjudiciables au bon fonctionnement de l’établissement”, ont affirmé les élus régionaux tarnais de la émancipation.

Pour Cabrolier : “la violence d’extrême gauche en roue libre à Albi”

Contrairement à la commune d’Albi, qui n’a pas bulletin sur le partie, les élus de l’inimitié de bête se sont fable ouïr. “L’Université est un lieu de paix, de dialogue et de savoir. Tout le contraire des idées prônées par l’extrême-droite qui ne recherche que la violence, l’affrontement, l’ignorance. L’extrême-droite est l’ennemie de nos libertés les plus fondamentales. La violence de l’extrême-droite se propage à Albi comme dans toutes les villes. Face à elle, nous attendons des autorités nationales et locales la plus grande fermeté.” Eux également réclament la bassesse du groupe Patria Albiges.

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Seul l’ex-député et élu d’inimitié (RN) Frédéric Cabrolier a admis la protection des militants de la Cocarde Agrégative, dénonçant “la violence d’extrême gauche en roue libre à Albi”. “Ces agressions contre des militants patriotes se succèdent en France et singulièrement à Albi, obligeant les étudiants de droite à s’organiser pour faire face aux violences d’extrême gauche dans l’indifférence générale des politiques locaux”, conclut-il.

Au-delà des divergences politiques et des condamnations officielles, cet rencontre met en embrasement une durcissement progressive du commission professeur.

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