Agora Pyrénées : les élus s’expriment

“Nous n’avons pas de grand site mais un beau paysage et des villages traditionnels”, informé Charles Legrand, conseiller municipal d’Arras-en-Lavedan. “Vivre dans cette vallée c’est choisir un retour à la terre”, Marie-Luce Komeza, conseiller municipal d’Estaing, acte un procès-verbal partagé par intégraux. Dans la obligeance de ondulé du Val d’Azun, chaque n’est néanmoins pas révolu,

Jean-Pierre Cazaux, conseiller municipal d’Arrens-Marsous, explicite que chaque n’a pas été dit sur cette naissance d’échanges et que chaque ne compromis pas entreprenant, une illusion qui rappelle que néant n’est crispé et que l’insistance est boîtier, ajoutant que “les gens doivent sortir de la mairie avec un engagement”, rejoignant une distinct illusion, icelle de la obstination des maires de la ravine à conforter et suivre les projets des habitants. Les contraintes existent et elles-mêmes diffèrent conformément les bourgs, “vivre à Arrens-Marsous ou à Arbéost, ce n’est pas la même chose”, assure Cyrille Fraize, conseiller municipal d’Arbéost, une diocèse évident par le col du Soulor. Ce même col qui acte l’praticable de devoirs vers une ajournement en acte du endroit, “deux intercommunalités travaillent en partenariat sincère et constructif”, souligne Christian Petcho-Bacqué, responsable de la ordre de communes du peuplade de Nay. Enfin, le attente de labellisation Destination vers Tous sera un barre touristique et habitation excessivement perceptible vers la ravine, juré Jean-Pierre Cazaux.

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