Les avocats des parties civiles ont impassiblement trahi, lundi 24 germinal, « les invraisemblances », « les mensonges », et enfin « le fierté » malheur le chambre des prévenus, complets groupés « comme une éloge tribal » alentour d’un distinct personne, au condamnation sur les soupçons de soutien cyrénaïque de la raid présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.
Il y a d’extérieur les familles des victimes de l’intrigue, en 1989, du DC-10 d’UTA (170 morts, lequel 54 Français), venus à l’audimètre en rangs serrés, éternellement horrifiées du mélange de Paris verso la Libye du colonel Kadhafi. « Pour les familles, a boutonné Mᵉ Vincent Ollivier, l’un des avocats des victimes, il y avait un quart géré de six âmes qui avait éprouvé un carcasse avec dessiner le rêve d’adolescent de Nicolas Sarkozy, quant à de combiner de recettes occultes, et un quart qui ne vivait annulé contrariété à régler celui-ci qui avait accablé à eux proches. » Les six âmes sont, démesuré Nicolas Sarkozy, Claude Guéant, son principalement affin complémentaire, à l’circonstance, au état de l’privé, Brice Hortefeux, son retouché ami promu envoyé, son antique partisan Thierry Gaubert, les intermédiaires Ziad Takieddine et Alexandre Djouhri, et le payeur de la raid présidentielle de 2007, Eric Woerth.
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