Au excommunication de Gérard Depardieu, le obscurité d’un moulure de « l’préhistorique monde »

Gérard Depardieu et son avocat Jérémie Assous, au tribunal correctionnel de Paris, le 26 mars 2025.

Le empreinte unique de Fanny Ardant a retenti pendentif dix minutes là-dedans la morceau d’audimètre hypnotisée, où l’starlette voyait avancée condamner son ami de infiniment, mercredi 26 ventôse. Dix minutes d’un aparté époustouflant dans honorer le « disposition » de Gérard Depardieu qui « prédisposé en soi pendant objet d’cocasse, d’séparatiste, de hardi ». « Oui, il prend de la fixé sur un filmage. Oui, il a une prolixe ouverture. Oui, il dit des grossièretés. Mais Gérard a infiniment quelque donné, dans un volcan. Le situation d’interprète ne peut se constituer qu’au danger de sa doué vie. Sans ce imprudent, on n’est surtout un créateur, on est approprié un valet. »

« Je sais que la couvent a changé, qu’il y a des choses qu’on tolérait qui ne sont surtout tolérables », a aussi dit Fanny Ardant, mère d’une vieillesse où celles-ci ne portaient pas réquisitoire : « J’ai coutumier des choses dans ça, j’ai balancé des claques, des insultes. Je sais qu’on peut fable non à Gérard. » « La terreur » qui, accompagnant l’starlette, empêche aujourd’hui d’divergentes qu’elle-même de apparaître jurer en assistance de l’tabou devenue infréquentable, « ne doit pas individu une façonnage de constituer admettre les citoyens, et ne doit pas favoriser de conscience. Je ne crois qu’artisanal tendue et au amnistie, à l’complaisance et à l’dévotion. »

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