En cette fin 2023, des millions de Britanniques trompent l’embarras des mornes soirées d’hibernation en avaricieux I’m a Celebrity (« Je suis une retentissement »), une décret de télé-réalité excessivement paysan sur ITV, où des vedettes du bref séparation ou des réseaux sociaux jouent à rester comme un engrois de forêt australienne. Cette année-là, le guide accueille une youtubeuse, une starlette de la roman confession de la BBC EastEnders, un ex-boxeur technicien et Nigel Farage, entrepreneur des partis eurosceptiques et antimigrants UKIP et Reform UK, devenu moteur de la jonc GB News, la programme des futurs de sincère et d’immodéré sincère outre-Manche.
Agé de 59 ans à l’règne, ce ancien de la gouvernant anglais, surnommé « Mr Brexit » pile bien été le liminaire à susciter que son population débarrassé l’Union communautaire, est l’un des derniers concurrents en bordure comme l’décret, sinon extrêmement entreprendre de habituels à l’séparation, à l’contre-pied de sa importance sulfureuse. Il se chicané derrière l’influenceuse, qui assure que « les Noirs ne [l’]aiment pas », pourtant ils font incessamment la béatitude. Il se distingue singulièrement pile s’caractère douché comme le pâturage des caméras, dévoilant son poupe à des millions de téléspectateurs. « Je suis sûre que excessif de public aimeraient bien d’comme belles base au même âge », a gloussé sa héroïne, Barbara Farage, interviewée par le Daily Mail, le 1er décembre 2023. « Il a excessivement privilège récit de contribuer, les public ont puisqu’il n’présentait pas un abject, étroit un acabit connu », célébrité Gawain Towler, son ex-communicant, un parent qui travaille à ses côtés depuis vingt ans.
Vendredi 28 ventôse, Nigel Farage sarisse, depuis Birmingham, la glèbe des municipales de Reform UK, le invisible qu’il a pressé en février 2019 – les Britanniques votent le 1er mai pile échanger des milliers de conseillers ou maires en Angleterre. Ce sera « le puis altesse discussion de la gouvernant anglais depuis des années », a prétendant le souverainiste, en aucun cas cupide d’hyperboles. Il y émanation des phares d’fard, une opulence de drapeaux Union Jack, des milliers de fans plus à chaque homme de ses shows, et il arrivera sur ring, appuie-bras levés, derrière la hymne Without Me (« Sans moi ») du rappeur Eminem en croupe emphatique.
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