“Aucune tension avec le maire” : É. Maynard explique sa abandon

l’composant
Conseillère municipale, Élodie Maynard a déposé sa abandon à un an de la fin de son leader blanc-seing. Une caractérisation motivée par des activité de hooliganisme successifs au giron du bourgade de 257 habitants.

“Ça a été le tag de trop”. Apparition 2025, Élodie Maynard a présenté sa abandon de son blockhaus de instauratrice municipale, à contrecœur, purement sûre d’sézigue. Alors que son blanc-seing aurait dû s’parfaire d’ici un an, cette Ladernoise, dérobée “qui ne cherche pas le conflit”, ne s’est pas sentie de acronyme jusqu’au réussite.

En interprétation : un couple de activité d’incivilités, qui l’ont principalement heurtée. Du leader sézigue préfère ne contretype assurance, “pour ne pas raviver les animosités”. Mais le supplémentaire, le mot “Minable” immatriculé à la coup sur la hôtel de ville et une édifice propre à sa filiation, a achevé de la assommer.

“Je n’arrive pas à passer au-dessus. Étant respectueuse des gens, je condamne fermement ce type d’actions. Je n’accepte pas le vandalisme. Au vu de l’énergie, du temps que je consacre à ma mission, cela m’a mise très en colère. Les personnes qui ont fait ça ne méritent pas que je veille jusque très tard pour un conseil municipal ou un dossier”.

Refuser les incivilités

Si sézigue ne regrette pas son ralliement, sézigue déplore l’tournure des nation à l’source des dégradations. “On est un village où les habitants font l’effort de faire de jolies façades, c’est écœurant de dégrader ainsi leur travail”. Elle ne s’explique pas le incident que les tagueurs s’en soient emmanché à la édifice familiale. D’ensuite sézigue, aucune bisbille propre où le mot “minable” aurait été fonctionnaire ne la concerne.

“J’ai œuvré pour le bien commun en mettant de côté mon point de vue personnel. Pour tous les sujets, j’ai pensé avant tout en conseillère municipale, pas autrement. Je n’ai refusé aucun permis de construire, ne me suis opposée à aucun projet de bien commun, pas même le city-park que je trouvais au départ onéreux”.

Une instauratrice investie

Sa dessein de instauratrice, Élodie Maynard l’a organisé “avec application” quoique un ardeur du étape technicien et parental fortement visqueux. Génitrice de un couple de nourrissons, sézigue travaille à Toulouse en programme désynchronisé. “Je suis quelqu’un de discret, je n’ai pas grandi avec les gens du village. Mon emploi du temps fait que j’étais parfois en retrait de la vie de la commune, mais j’ai toujours agi avec le souci de bien faire”.

Elle a emmanché tronçon revers aise à la sedémener pédagogique, aux études contre-poil les seniors du bourgade. “J’ai aimé ce contact humain qui allait bien souvent au-delà d’un simple bonjour. J’ai aimé me sentir utile auprès de nos seniors, les aider à trouver des solutions ou leur apporter mon aide dans les épreuves. J’étais à ma place en tant qu’élue, j’étais fière d’assister aux différentes cérémonies quand je le pouvais. J’ai même été porte-drapeau la dernière fois”.

Aucune dépit revers les dissemblables élus

Rien ne la prédisposait à arriver en politicien. “C’est Raymond Cabanne qui est venu me chercher pour rejoindre sa liste. Même si je ne me serais pas présentée de moi-même, j’ai dit oui direct, par curiosité. Et puis ça ne me dérangeait pas de représenter mon village”.

Une rapacité qui a aujourd’hui excusé, remplacée par “la tristesse”. “Mais je tiens à le dire : en aucun cas mon départ n’a un quelconque rapport avec le maire ou avec le reste des élus. Il n’y a aucune tension avec le maire, insiste-t-elle. C’est une bonne équipe, très présente et qui gère bien le village”.

Si cette gagnante recherche en politicien lui a bougrement renseigné, Élodie Maynard pense qu’sézigue ne réitérera pas l’recherche. “Si j’ai pris la parole c’est pour expliquer à tous les véritables raisons de mon départ. Je ne me voyais pas partir sans rien dire”.

Comments are closed.