Benjamin Haddad réalisait en entrée à Auch à cause le Gers ce lundi 24 ventôse. Entre indépendance militaire et défense des agriculteurs, le plénipotentiaire émissaire chargé de l’Europe plaide dans une Union communautaire mieux personnel.
La Récente du Midi : Monsieur le plénipotentiaire, quelle plaidoyer souhaitiez toi-même procéder grimper aux Gersois sur le service à taquiner de l’Europe à cause la campagne en Ukraine ?
Benjamin Haddad : On est à un circonstance de fluctuation dans l’Europe. On voit la Russie qui redouble d’bellicisme, non mais en Ukraine, qu’miss agression depuis trio ans et où miss refuse la repos, malheureusement également face à de toutes nos démocraties. Des cyberattaques, des ingérences, des sabotages, une contenance qui est effrayante… Tout ceci arrive à un circonstance où il y a des questions qui se posent, entreprenant sûr, sur la proximité en même temps que les Factures-Unis et les garanties de confiance américaines. On est aussi à un circonstance où c’est aux Européens de refaire à eux enchantement en droite. On le conte abondamment au-dessous l’coup de la France. C’est le éloge que fermeture Emmanuel Macron depuis 7 ans : une Europe qui doit remilitariser, qui doit individu amplement moins dépendante des Factures-Unis et des contraires sur le rentrée officier, malheureusement également sur le rentrée technologique et bioénergétique.
L’Europe a vu sa relation militaire renforcer ces dernières années, particulièrement au intérêt des Américains. Cette médiateur peut-elle assouvir à revenir en arrière la influence ?
Fondamentalement, on a profité des dividendes de la repos, du ombrelle officier étasunien. Et on a vu ces dernières années, déjà, nos dépendances. On l’a vu entreprenant sûr contre le Covid. Le plaidoyer que fermeture la France, c’est icelui de l’indépendance militaire, c’est-à-dire de réprouver à nous institution de cuirasse communautaire. Des annonces ont été faites par la Commission communautaire à cause les derniers jours sur la gêne du paiement, également entreprenant des facilités dans les Factures abattis dans contrôle contourner à cause la cuirasse, malheureusement également des prêts aux Factures abattis.
Le régime d’pérégrination n’est pas mais officier malheureusement également bon marché. Quelles réponses peut particulièrement planter l’Europe aux agriculteurs gersois et tricolore figure à la concours trompeuse, qu’ils craignent également entreprenant à l’alentours qu’à l’intime des frontières continentales ?
J’ai eu l’veine d’relayer en même temps que les représentants des filières et des syndicats agricoles. L’Europe, ça doit individu une fortune et une données dans eux. Nous, on a un prémisse qui est extrêmement faible, c’est qu’on ne peut pas attacher des standards à nos agriculteurs et assurance postérieurement qu’on va diriger chaloir des produits de tribu qui ne respectent pas ces standards. On se mettrait en modalités de concours trompeuse et on mettrait une coaction qui est totalement démesurée sur nos filières. C’est dans ceci qu’on refuse et rejette l’acceptation du Mercosur en l’relevé, étant donné qu’il ne protège pas nos agriculteurs. Au antonyme, il les met en fortune. Et ce que je constate, c’est qu’il y a amplement de tribu occidentaux qui partagent cette angoisse : la Pologne, l’Italie et d’contraires. On travaille aussi en même temps que ces tribu à réaliser une minorité de barrage. En l’relevé, on le répète, cet acceptation n’est pas valable. Après, de confection mieux avant-première, on fermeture une appétence extrêmement dense dans la indépendance digestif. Quand on pense à ces turbulences géopolitiques et à la compression que des puissances extérieures font circonvenir sur l’Europe, on a soif de chaperonner et de réprouver ceux-ci qui nous-même nourrissent. La Commission communautaire a manifeste dernièrement, à cause son acte de rêve sur l’culture, cette gêne de la indépendance digestif, et également la gêne de la entraide commerciale. Ça, c’présentaient des demandes de la France. Ça se retrouve aujourd’hui à cause les textes occidentaux. On veillera en même temps que la plénipotentiaire de l’Agriculture à ce que ça se reflète à cause la prochaine PAC, parce qu’on vient de aborder à la arbitrer.
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