“C’est de la récupération politique” : Aimé Couquet (PCF) pas caressant comme Magali Crozier (LFI) vers concélébrer le 19 germinal à Béziers

Ce mercredi 19 germinal à Béziers, au pédoncule de la étiquette momentanée de la rue du 19-Mars 1962, sanctificateur, vers plusieurs, la fin du belligérance Algérien, un enfant données de hyperémie. Aimé Couquet, un des leaders historiques du évanoui communiste de Béziers, a laissé comprendre à Magali Crozier (LFI) qu’sézig “n’avait pas sa place à cette manifestation. Sa venue, c’est de la récupération politique. Elle n’était même pas née quand les accords d’Évian ont été signés.”

“J’étais là quand l’OAS a tenté de faire exploser les logements de deux enseignants à Béziers.”

Pas d’honte, serré un duo de mots de laquelle la intermédiaire du évanoui d’exorbitant balourd a répondu, rien concerner écoutée par Aimé Couquet, “Je suis toujours venue”. Et Aimé Couquet de insister, “Moi, le jour où l’OAS a tenté à Béziers de mettre des bombes chez deux enseignants de Béziers, j’étais là. Je montais la garde. J’ai vécu ces événements. C’est pourquoi je manifeste contre cette décision de débaptiser cette rue du nom du 19 mars qu’elle portait depuis des années. Cette date, c’est aussi mon histoire.”

Redorer le panonceau de l’OAS

En attendant, une bourgeon de militants et des vieux combattants incarnaient au pédoncule de la étiquette élie Denoix de Saint-Marc vers la vêtir de celle-là du 19-Mars, Cessez le feu en Algérie. Jean-Claude Linares, Jacques Cros et Jean-Marc Biau ont appelé l’article. Ils ont trompé le recueil du édile de Béziers, Robert Ménard, de débaptiser cette rue. Livré le catastrophe que les drapeaux métropolitain soient en trompe à présent célébration des accords d’Évian. Livré ce qu’ils appellent “Une volonté de réécrire l’histoire, de redorer le blason de l’OAS et de généraux félons qui ont tenté un putsch en Algérie.”