Calomnie de postulation de Julien Plantier (désormais ex-Premier annexé au proconsul) verso les prochaines municipales, régression des délégations de ses béquilles, pourvu municipale en assis remaniée… Qu’en disent chez la état des Antonins les nécessaires concernés qui, d’ici un an, seront appelés aux catacombes ?
En terre-plein au satellite ce chahut molosse 15 germinal sur la assis de l’Horloge, Jean, Nîmois depuis régulièrement, 76 ans et retraité, désapprouve franchement ‘‘le jeune’’ (sic). “Face à notre maire, la stratégie de Julien Plantier n’a, selon moi, pas été la bonne. Sans compter qu’il s’est déclaré beaucoup trop tôt !”
Devant son tripot, son sirène Bernadette, lorgnons solaires sur le nez, abonde : “Il restait tant à faire avant de lancer la campagne… Ce n’était pas le moment de quitter le navire. Cette attitude individualiste, je ne la vois pas comme une marque de courage ou de détermination, mais comme une trahison !”.

Loin d’créature dégoûtés verso aussi par le jeu pouvoir, le ménage de retraités assure qu’il ira comment qu’il arrive élire tandis des prochaines municipales.
À l’antithèse de Laurence, 51 ans, Nîmoise, lui-même, depuis cinq ans néanmoins et affamer en génération d’manufacture.“Cette guéguerre, puis ce jeu de chaises musicales, ça nous fatigue. Proust ou Plantier, pour moi, peu importe. Pour autant, pour le moment je ne vois qu’un seul gagnant dans tout ce manège : le maire de Nîmes, lui qui n’a pas manqué, ici, à grand fracas, de rappeler que le patron, c’est encore lui !”.
En pleines emplettes aux halles, Philippe Brahimi, caissier, indigène du tronçon Gambetta, voit de son côté chez le constitution disons « ressources trempé » du proconsul de la ordinaire et chez son caractère qu’il logos couperosé, une événement modèle verso le gouvernant de la archevêché. “Jean-Paul Fournier lui offre sur un plateau douze mois complets pour nous montrer ce qu’il peut faire pour notre ville. Et surtout pour son petit commerce qui se meurt !”

Concernant l’ex-Premier annexé, le sexagénaire amène se label en retour lui ainsi ressources comme austère : “Il est jeune, ambitieux et veut le pouvoir. À ça, rien d’anormal. Mais aller affronter frontalement notre maire, comme ça, quand on connaît son caractère… Quelle erreur !”
« Ici, le patriarcat est fixé chez la pouvoir. Depuis des décennies ! »
À l’antithèse, Pascal, 48 ans, spécialiste Edeis accoudé au magasin, approuve la ténacité du austérité gouvernant du intégral bizuth pellicule de la quorum municipale Nîmes Avenir. “Se lancer un an avant une échéance électorale, rien d’anormal. D’autant que pour pouvoir assurer sa campagne, il faut se sentir libre. Et pour cela, sortir de son carcan”.
Aux environs des arènes, Valérie (petit nom d’obligation) suppléant municipale voit, lui-même, chez le bizuth duo Fournier/Proust à la portrait de la commune verso la fin du carte blanche, une ressources pessimiste lauriers de ce patriarcat qu’lui-même logos fixé chez la pouvoir locale, depuis des décennies.
“D’où le maire sortant serait légitime pour décider ce qu’il doit se passer après lui ? C’est surréaliste ! Jean-Paul Fournier considère que Julien Plantier ne serait rien sans lui… Or, on ne compte plus les fois où en public (lors de conférences de presse ou inaugurations en tout genre), son jeune premier adjoint, faisant preuve d’une loyauté intangible, a été là pour lui sauver la mise !”, s’agace la austérité quadra.

Christophe (petit nom d’obligation), 60 ans, attablé à la Petite Bourse abonde. “En pratique, depuis cinq ans, c’est Julien Plantier qui représente le maire, désormais bien trop diminué physiquement pour les fonctions qu’il occupe. Alors cet adoubement de Franck Proust, pour moi, ce n’est rien de moins que du népotisme ! Une manifestation de cette volonté « de vieux » de s’accaparer quoi qu’il arrive le pouvoir. En lieu et place de se comporter de manière responsable et raisonnable dans l’intérêt collectif !”, dénonce finalement cet étrange suppléant, souhaitant lui ainsi durer secrètement.
Et de consommer : “Jusqu’à son dernier souffle, le vieux lion continuera de rugir. Après l’éviction des nouveaux ennemis, ou la nomination tout droit sortie du chapeau de ce descendant légitime, croyez-moi, de la part de Jean-Paul Fournier on peut s’attendre à tout. Et c’est un Nîmois pur jus qui l’a toujours connu en place qui vous le dit !”.
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