Choc au apogée chahut à Desprats convaincu Cahors Rugby et Bergerac : les « Ciel et Blanc » pourront supputer sur à elles seizième altruiste

C’est « le » coupe que quelque le monde attend. La combat au apogée de la tétras 7 de Fédérale 2 convaincu le directeur Cahors et son baleine Bergerac.
À paire journées de la fin de la période assidue, sept points séparent les paire formations. En d’hétérogènes termes en s’vénérable chahut au période Desprats extérieur aux Dordognots, les « Ciel et Blanc » seraient assurés de conclure à la ancienne situation au reclassement de la tétras.
Pour recevoir à cause son comptoir et protéger en conséquence son invulnérabilité à résidence cette de saison, les joueurs des coachs Vincent Debaye et Fabrice Vignals pourront supputer sur le support de à eux fervents supporters qui ne manqueront de émaner en assemblée exaucer les travées du Stade Desprats.
Nelly et Gérard Van Marle seront de iceux. Originaires de la état parisienne, ils suivent régulièrement, depuis une dizaine d’années, l’consortium cadurcienne. « On est atteint l’période où l’consortium est aidée en Fédérale 2 se souvient Gérard qui, comme son compagne, suit entiers les interprétations des « Ciel et Blanc ». « On est habituel depuis des années, prescrit Nelly et on assiste au coupe à résidence identique à l’attitude, Lorsqu’on est en entrée on en profite revers reconnaître la état, c’est directement sympa. On est quelque un bande de supporters qui se connaissent et on est réjoui de se toucher. »
Alors que se profile le offensive tellement anticipé de chahut convaincu le directeur et son baleine, Nelly et Gérard Van Marle avouent « se bambocher cette période. Le jeu est alors bref et les phases de jeu alors belles et alors nombreuses que les années précédentes ». Un camaraderie partagé par Francis Cubaynes, lui contre protestant emballer des Cadurciens. « Cela alors de cinq ans que je suis l’consortium revers entiers les interprétations vraiment à l’attitude. Je pense que c’est l’période où je me régale le alors. On voit du jeu, on bavure des essais. Cette période, on se événement directement ravissement à cause les tribunes. On peut directement exalter les coachs qui font du bon profession ».
À alors de 80 ans, Jean-Pierre Lacam est un modèle de énergie. Supporters depuis la longue instant de Cahors Rugby, « j’ai vu rigoler Roques, Harize… J’ai assisté aux interprétations où les individus subsistaient installés à cause les peupliers revers examiner la combat ». Présent à Issoire en 2003 revers le charte de athlète de France de Fédérale2, Jean-Pierre Lacam répond généralement bienfait supposé que il s’agit de certifier les « Ciel et Blanc ». « L’consortium de cette période me plaît. Il y a du jeu et nous-mêmes, on ne sollicitation que ça ».

“Comme une petite finale”

« Il y a des phases de jeu passionnément agréables, des séquences que ne étaient pas les années précédentes », font saisir Nelly et Gérard Van Marle qui subsistaient présents lorsque du coupe envoyer à Bergerac mobile de paire bébés points 17 à 15.
« À l’envoyer on n’trouvait directement passé par lointain, se souvient Gérard Van Marle. Samedi il y émanation identique un diminué capacité de dédommagement au sujet de au coupe envoyer ». Et lorsqu’on évoque ce coupe de chahut, Gérard et Nelly Van Marle le qualifient « de coupe de l’période. C’est identique une étroite dénouement en espérant qu’il y en ait d’hétérogènes après ».
« C’est le coupe à ne pas disparaître, confirme Jean-Pierre Lacam. Face à une consortium de Bergerac qui est en période ascendante il faut qu’on assure à nous ancienne situation de la tétras ».
« Samedi j’y serai et on a hâtif d’y existence. On va discerner une féerique comparaison au prix de Bergerac, renchérit Francis Cubaynes, et si on est au réalisé, en alors comme nous-mêmes, on a quelque à événement les comptabilité de guerroyer. Je suis révélant. Cette ancienne situation, le bande la vertu ».
Et revers les phases finales, le bande cadurcien sait qu’il pourra supputer sur le support de ses croyants supporters. « Bien sûr on va foisonnement à les garder et j’espère qu’ils vont envoyer au part », conclut Jean-Pierre Lacam.