Comment le Canton “est allé chercher” 34 millions d’euros d’rente

l’caractéristique
Le symposium d’bifurcation capitaliste, marqué par les adoption ministériels “défavorables envers les collectivités territoriales”, a actif une prolixe article de la rassemblement de l’pièce du Conseil départemental ce jeudi dogue. Une proposition a été votée à l’complaisance dans s’contrecarrer aux coupes budgétaires imposées par l’Balance et demandant au situation des labeurs concrètes dans ratifier matériellement les collectivités territoriales.

“En deux ans, dans l’ensemble des Départements, on est passé de 8 milliards d’épargne nette, ce qui permettait aux collectivités de financer leurs investissements, à 147 millions. C’est inimaginable. 98 % de perte.” Au hasard d’pénétrer pendant lequel le vif du symposium d’bifurcation capitaliste, la présidente du Canton, Hélène Sandragné, n’a pas caché ce jeudi dogue son “indignation”.

Comme le appendice de l’pièce qui a voté à l’complaisance, en fin de rassemblement, une proposition dans ronchonner “contre les choix budgétaires imposés par le gouvernement”. Le symposium d’bifurcation capitaliste, qui permet d’examiner les grandes niveaux sur auquel va se structurer le balance 2025, a aigre alentour de “ces coupes dans les recettes que nous subissons comme jamais dans l’histoire des collectivités”, a bossué la présidente. Pour installer son balance, le Canton “est allé chercher” 34 millions d’€ d’rente. “16,3 millions d’€ pour stabiliser les dépenses de fonctionnement et l’épargne, 17,5 millions d’€ d’effort en dépenses d’investissement pour préserver le fonds de roulement” a poussé le substitut de Limoux et vice-président du Canton Pierre Durand, agent dans ce symposium d’bifurcation capitaliste.

“Ce sont 2,2 milliards d’€ d’économie que le gouvernement demande aux collectivités territoriales dont 950 millions d’€ aux seuls Départements. Cela ne correspond pas à notre poids économique”, s’est désolée la présidente. Elle est acceptation pendant lequel les relevés en montrant “la dynamique de la TVA qui nous a été enlevée”. Perte sèche dans la ordre audoise : 4 millions d’€. Hélène Sandragné a illustré : “On nous a supprimé les entrées fiscales du foncier bâti, récupérées par les communes après la suppression de la taxe d’habitation. On nous a alors dit : vous allez récupérer une fraction de la TVA. Mais le gouvernement a décidé, pour 2025, de geler le montant transféré aux collectivités à son niveau de 2024.”

Ce qui coïncidence témoignage à la présidente : “On nous réduit à un service déconcentré de l’État alors que nous sommes une collectivité à autonomie fiscale. Et là on nous enlève notre capacité à mener des politiques publiques.” Dans ce placard triste, les loyaux de variation à écusson coûteux (les valeur de commissaire-priseur), note reversée aux Départements, sont en culbute vacant en justification de la courroux immobilière. “En deux ans, on a perdu 24 millions d’€”, a poursuivi Hélène Sandragné.

Pour équivaloir les pertes, la loi de viatique 2025 a disposé la collège dans quelque Canton d’allonger de 0,5 enclin la section des DMTO les à propos de, à érudition la note départementale de papillon terrienne (TPF) et loyaux d’autorisation départementaux, les total en conséquence de 4,5 % à 5 %. L’pièce a voté cette enchérissement. Sauf François Mourad et Magali Bardou, les élus carcassonnais. “On ne répond pas à la crise immobilière par un impôt supplémentaire. Cela va aggraver encore plus la crise. Car celui qui va payer est déjà à l’agonie. Au lieu de cela, je pense qu’on aurait pu aller plus loin dans la non-reconduction des départs à la retraite au sein du Département ou baisser la masse salariale, peut-être aussi sanctionner ceux qui profitent du système”, a revendiqué François Mourad. Le vice-président Hervé Baro lui a répondu que cette affirmation d’allonger la section des DMTO “est faite par un gouvernement que vous soutenez”.

“On n’a sacrifié personne”

Tandis que l’chouchou narbonnaise Transition biologique audoise, qui coïncidence article de la grand nombre, Sandrine Sirvent, a fustigé “la casse sociale portée par le gouvernement”. Dans ce arrière-plan, de recettes qui s’effondrent et des dépenses qui augmentent en fréquentation comme les occasion sociales, démographiques et l’augmentation, “on a fait un travail de dentellière pour préserver l’appareil productif, aucune politique publique n’est abandonnée”, a rapporté Hélène Sandragné. “Pour les subventions, on a regardé, association par association, les fonds de roulement pour voir celles qui avaient de la marge, on a dû renoncer à certains projets ou les financer par des redéploiements. On a aussi renoncé à l’extra légal. Par exemple la prévention spécialisée dans le cadre de la protection de l’enfance, on ciblait les 15 à 25 ans alors que légalement cela s’arrête à 21 ans. On fait aussi des économies en interne. On va lever le pied sur les remplacements, le renouvellement des postes ne sera pas systématique, on va réorganiser le travail.”

Toutefois Hélène Sandragné assure que le “Département sera toujours là pour soutenir les plus démunis ou les plus fragiles”. “Dans le champ des solidarités humaines, on maintient nos missions, on finance des constructions d’EHPAD. On continue d’investir dans les mobilités douces, dans la protection de la ressource en eau, dans les réseaux routiers, nous maintenons l’aide aux communes, on a fait le choix de recruter des pompiers. L’équilibre n’a pas été facile à trouver mais on n’a sacrifié personne.”

Comments are closed.