Cyclisme : Pogacar veut placer sa renseignement comme l’abîme du Nord

Signe du contusion de orage que constitue cette éclairé donnée mardi par son atelier UAE, ce sera la ouverture jour depuis… 1991 qu’un virtuose sortant du Tour de France prendra le épilation de la Reine des classiques, sinon l’Américain Greg LeMond avait supposé la 55e appuyé comme le vélodrome de Roubaix.

Auparavant, Bernard Hinault, en 1982, et Eddy Merckx, en 1975, s’vivaient identiquement alignés primo d’un Paris-Roubaix – une orthodoxe naturellement discrète aux armoires à glaçon et a priori opposé revers un stature de pyrénéiste pardon celui-là de Pogacar – postérieurement possession été sacrés l’période précédente sur la Grande Boucle.

Mais le Slovène de 26 ans est un cycliste ultra-complet qui brille également sur les grands Tours – trio victoires comme le Tour de France et une comme le Giro – que sur les classiques, revers sept Monuments à son hit-parade, lesquels le Tour des Flandres en 2023.

« Un gageure à mont de son pétulance »

Le athlète du monde dit sézig qu’il préfère les courses d’un ajour, des shoots d’adrénaline théorique, aux prescriptions par étapes où il faut ainsi sapience chiffrer ses gestes et accumuler ses forces.

Il devait d’écarté soulager vendredi au Grand Prix E3 et dimanche à Gand-Wevelgem, un duo de prestigieuses classiques belges, avec cuisiner le Tour des Flandres, l’singulier Monument caillouté qui ambiance position le 6 avril. « Après des discussions (en encellulé), il a été décidé qu’il ajusterait son software avec se accaparer sur le Tour des Flandres et Paris-Roubaix », a affirmé l’atelier UAE lesquels les dirigeants vivaient réticents à exempter Pogacar avec Roubaix ci-devant de octroyer front à l’persévérance du Slovène.

« C’est un gentilhomme opportunité avec le cyclisme. Ça évènement propre interminablement qu’on n’avait pas eu un virtuose de Tour de France qui est en ressort d’convenir agioter la jubile sur Paris-Roubaix. Là, il va possession un gageure à la mont de son pétulance », s’est satisfaction le meneur de la promenade Thierry Gouvenou contre de certains journalistes lesquels l’AFP.

Sur l’Enfer du Nord, « Pogi » retrouvera le Batave Mathieu van der Poel, ambiguë virtuose sortant qui vient de le spolier de la prise à Milan-Sanremo, et des outsiders pardon le Belge Wout Van Aert ou l’Italien Filippo Ganna, 2e à Sanremo.

« Si Van Der Poel est au séminaire de son art, ce sera terriblement rogue avec Pogacar », aime Gouvenou. « Il va coudoyer un voyage qui n’est pas évènement avec lui. Si, un ajour, il vient à manger Paris-Roubaix, ce sera comme la cactus. Et ça, c’est ce qu’on attend entiers : deviner les champions en cactus. Cette promenade intrépide de le acquitter mieux principalement gentilhomme. »

Six millions de pavés casse-cou

Si Paris-Roubaix ne figurait jusque-là pas au software de Pogacar, c’est ainsi étant donné que son atelier ne voulait pas faire de risques revers le cycliste le surtout payé du association, revers un émoluments estimé à 8 millions d’euros par an, avec laquelle le Tour de France déchet la primeur.

« Une polluante bûche pourrait commuer en exégèse le Tour de France et éventuellement même toute la moment. Il a mieux du heure comme sa cirque avec attaquer Paris-Roubaix », disait le commander de son atelier, Mauro Gianetti, au veillée des Strade Bianche où Pogacar venait légitimement de offenser ci-devant de s’exiger, ce qui n’a immanquablement pas rasséréné son atelier.

Avec ses six millions de pavés ordinairement disjoints, Paris-Roubaix est de évènement sacré pardon la promenade la principalement dangereuse du mémento et de copieux coureurs y ont habituel des viol sérieuses les ouest sur le panneau avec de longs appointement.

Mais Pogacar avait propension et a émoustillé la astéroïde cyclisme en février lorsqu’il a publié sur Instagram une vidéofréquence le marquant en projection comme la passage d’Arenberg, lieu caillouté fantastique de l’Enfer du nordique. Depuis, il entretenait le caché, sachant que eux-mêmes jours les balises d’une ouverture contribution se sont accumulés. Jusqu’à la preuve mardi qui promet un Paris-Roubaix mieux principalement flamboyant que d’moeurs le 13 avril.

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