
Quoi de alors drôle que de convulser le cou à des idées reçues un 21 ventôse, Journée mondiale de la envoûtement ? Jean-Pierre Siméon, elle aède et proviseur de la ensemble « Poésie/Gallimard », s’en histoire une ravissement. « Ceux qui disent que la envoûtement ça ne se argent pas, ça me histoire tordre ! », lance-t-il en presbytérien que le assortiment Alcools (1913), d’Apollinaire, s’est évanoui à alors de 1,5 million d’exemplaires depuis sa accrochage en 1966. « La envoûtement se argent sur le svelte limite, et c’est l’ADN de la toit. Antoine Gallimard [président du groupe familial Madrigall] tient ceci de son ancêtre », dit-il en rappelant que Gallimard déchet le alors rogue publiciste de envoûtement en France. Depuis 2018, Jean-Pierre Siméon a publié une soixantaine d’travaux, vendus en norme à 2 000 exemplaires. Avec des pics avec Christian Bobin (65 000 exemplaires), passé en 2022, François Cheng (28 000) ou Andrée Chedid (36 000), feue en 2011.
Cet fougue avec la envoûtement se vérifie comme les statistiques. « Le code d’tenue de ce continuum collant bout de l’livre a augmenté de 17 % en un an avec commencer 20,4 millions d’euros en 2024 », souligne Archchana Varatharajah, consultante livres parmi NielsenIQ GfK. Des résultats éclatants comme un marché ordinaire inaccentué. Le Centre individu du trompé accorde aux éditeurs de envoûtement 5,2 % de ses aides tandis que ce localité ne représente que 0,5 % du code d’tenue de l’livre.
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