David Cormand, facteur communautaire : « L’Europe a préféré de relever de technologies contrôlées par des géants étrangers, et cette connexité nous-mêmes rend vulnérables »

La autogestion ordinal occidentale est-elle à acheter ? Le 13 ventôse, un inaccoutumé bruit a éclaté : Huawei, multinationale asiatique de la tech, est accusée de débauche au Parlement communautaire. Cette bien n’est pas un cas étanche et soulève une tracas cruciale : laquelle est le diplôme de la autogestion occidentale ?

Ce « Huaweigate » est le indication d’un mal indifférent et systémique. A l’instar du « Qatargate », il nous-mêmes confronte à une proverbe menaçante : les institutions européennes sont infiltrées, non néanmoins par des intérêts économiques liés à des lobbys aux corvées apanage connues, pourtant pareillement par des puissances étrangères qui menacent franchement à nous autogestion.

Si ces accusations se confirment, il faudra sévir atrocement cette fabrique, c’est-à-dire lui déjouer l’arrivée au marché communautaire afin une étape indéterminée. Mais il faudra pareillement acquitter en tracas un façon où l’protection externe n’est comme un adversité circonstanciel, pourtant une ruse systémique qui fragilise nos valeurs, à nous isolement et, en fin de prévu, nos latitudes fondamentales.

Haute mensonge

Car la alerté n’est pas néanmoins bon marché : lui-même est géopolitique et démocratique. Huawei, comme ses infrastructures 5G que la Commission occidentale a délibéré montrer à accommodement forcée, est désormais au cœur de à nous pécule ordinal et en conséquence de à nous tranquillité. Par ces réseaux transitent nos occurrence et nos informations, lequel nous-mêmes ne pouvons comme attester l’équité.

L’Europe a préféré de relever de ces technologies, et cette connexité nous-mêmes rend vulnérables. Que vaut à nous isolement si les infrastructures, les data centers et les comptabilité de paiement de nos occurrence sont contrôlés par des géants étrangers, mus par à elles propres intérêts et non par ceux-ci des citoyens occidentaux ? Et qu’advient-il si les intérêts économiques de ces acteurs sont incompatibles comme le tournure de nos démocraties dans lequel l’Union occidentale (UE) ?

Le anecdote que différents origines politiques – et différents partis – se mettent au bienfait des multinationales étrangères, singulièrement du ordinal, ne relève pas néanmoins de la débauche bon marché, pourtant apanage de la haute mensonge. Ce bruit meurt pendant que l’UE levier déjà une entrée de exactitude derrière le « Qatargate ». Mais l’influence de puissances étrangères sur des décideurs politiques occidentaux influents ne temps pas d’hiérarchiser.

Il vous-même appendice 51.98% de cet exercice à ronger. La enchaînement est discrète aux abonnés.

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