
Sept professionnels de constitution sont jugés à abruptement de ce mardi 11 ventôse 2025 parmi l’choc de la extrémité de la indication du football, Diego Armando Maradona. Le affaire devrait poursuivre jusqu’à mi-juillet.
Enchaînement de négligences coupables, ou fin indispensable d’un académie usé ? Quatre ans ultérieurement la extrémité de Diego Maradona, sept professionnels de constitution sont jugés à abruptement de mardi parmi un affaire à l’enseignement possible, dédié à muer l’effroi pleine des Argentins derrière à eux “Dieu”.
Lumière du football cosmopolite, Diego Armando Maradona est défunt à 60 ans d’une accès cardio-respiratoire, le 25 brumaire 2020, autonome sur un lit médicalisé d’une immeuble seule de Tigre, au hyperboréen de Buenos Aires, où il voyait en rétablissement, ultérieurement une neurochirurgie derrière un bleu à la élevé.
Son mort avait plongé l’Argentine, découvrant lentement son “Dieu” catastrophique, parmi un putride de dégoût, trio jours de souffrance citoyen, et des chevalets d’accablement, spasmes et reconnaissance mêlées, ennuyeux quelquefois l’pithiatisme, alentour de la déclin au résidence présidentiel, ou postérieur le solennité sinistre. À Tigre, c’est l’assistante de fenêtre qui l’avait évident sinon vie en fin de aurore, l’brancardier nuitamment disant possession eu “ordre de ne pas le réveiller”, purement nanti certifié que Maradona dormait et respirait naturellement à la relève, à 06H30.
Messages compromettants ?
Selon l’recherche, l’simple éclat de Boca Juniors et de Naples, le géant du Mondial 1986 en même temps que l’Albiceleste, est défunt “d’un œdème pulmonaire aigu secondaire et d’une insuffisance cardiaque chronique exacerbée”. Mais Maradona, subséquent l’enquête médicale, souffrait de pluriels pathologies : problèmes rénaux, au foie, impossibilité cardiaque, ruine neurologique et relation à l’chartreuse et aux psychotropes.
Sept personnalités sont jugées : le neurochirurgien Leopoldo Luque, la neuropsychiatre Agustina Cosachov, le psychologue Carlos Diaz, la coordinatrice médicale Nancy Forlini, le coordonnateur brancardier Mariano Perroni, le anesthésiste chirurgien Pedro Pablo Di Spagna et l’brancardier Ricardo Almiron. Pour le plancher, ce individualiste curatif a été “protagoniste d’une hospitalisation à domicile sans précédent, totalement déficiente et imprudente”, et aurait intérimaire une “série d’improvisations, de fautes de gestion et de manquements”.
Retardé par différents renvois, le affaire à San Isidro (ceinture de Buenos Aires) devrait poursuivre jusqu’à mi-juillet, à jugement de trio jours par semaine, en même temps que contigu de 120 témoins entendus, dans experts, ménage, proches, médecins de Maradona au fil des ans. L’assistante Dahiana Gisela Madrid a acquis d’individu jugée indépendamment du affaire responsable, et par un tribunal vulgaire, a priori en juillet. Les accusés sont poursuivis derrière “homicide simple avec dol éventuel”, particularisé lorsqu’une mortel commet une inconséquence globalité en sachant qu’sézig peut appâter la extrémité de quelqu’un. Ils encourent dans 8 et 25 ans de cellule.
Les stratégies de apologie semblent se accomplir, illustrées par les auditions des témoins en débarquement d’inquisition : paradoxe se retranchant postérieur à eux spécialisation, à eux activité divisé alentour de la vedette, paradoxe rejetant la charge sur d’distinctes. Ainsi le coordonnateur brancardier, qui assura n’possession “jamais été dans la maison, ni en contact” en même temps que Maradona, exclusivement chargé des représentations factionnaire. Et analogue “des décisions des médecins qui s’occupaient de lui”. Ou la neuropsychiatre qui dit n’possession anecdote que garder l’conclusion intellectuel de Maradona, bagatelle à deviner en même temps que son mort derrière erreur cardiaque, indique son champion.intercessuer Vadim Mischanchuk, se disant à l’AFP “très optimiste” en vue d’un paiement.
“Justice pour Diego !”
Mais le affaire devrait également sympathiser des échanges de messages audios et écrits, qui subséquent Mario Baudry, champion.intercessuer de Dieguito, un des liens de Maradona, façade qu’“ils (l’équipe médicale) savaient que si Diego continuait ainsi, il mourrait”. “Ce qu’ils disent dans les audios et messages, c’est d’essayer de s’assurer que les filles de Diego ne l’emmènent pas, car si elles l’emmenaient, ils perdaient leur argent”, a-t-il suspect.
Maradona, qui refusait les médicaments des mains des gardes-malade, subséquent des témoignages, était-il exclusivement amendable ? Qui décida d’une rétablissement parmi un emplacement visiblement impropre, sinon défibrillateur ? Quel activité ou survenue avait sa ménage ? Qui, au terminal, décidait ? Autant de questions qui amènent une matière de la monde à s’écouter :
“Y aura-t-il des coupables pour la mort de Maradona ?”, sollicité le amical Pagina 12. Mais derrière les Argentins vénérant “el Pibe de oro”, il en faudra. “Justice pour Diego !” clament des graffitis parmi le district El Paternal, qui le vit “naître” footballistiquement, à 15 ans, au night-club d’Argentinos Juniors. “Toute la société, on a besoin de savoir […] ce qui s’est vraiment passé, qui l’a abandonné, et que ceux qui doivent payer payent !”, lâchait à la surveillance du affaire Hilda Pereira, immobile davantage émue en repensant qu’“il ne méritait pas de mourir comme il est mort, dans la solitude”.

Comments are closed.