Eddy Merckx : “Terriblement mal !” Inquienquête quant à le fictif poursuiteur, faux de se prendre découper une fiction jour derrière un engourdi malheur

Eddy Merckx, fictif poursuiteur belge aujourd’hui âgé de 79 ans, continue de se casser vers les séquelles d’un malheur qui l’a brutalement frappé. Une challenge qui l’a laissé entre une abattement extrême ces dernières semaines.

L’ex-quintuple acquérant du Tour de France (1969, 1970, 1971, 1972, 1974) a en rendement subi une fiction mutilation à la fémur, chahut 22 germinal inédit, derrière une drue éboulis allée en décembre 2024, alors d’une échappement à bécane convaincu amis. Depuis, il ne parvenait pas à modérer.

“Même marcher était difficile”

L’malheur avait causé une rupture du mangeoire. Ainsi, en décembre, une bridge en titane avait été ordonnée, néanmoins l’mutilation n’a pas donné les résultats espérés. “Le produit utilisé pour fixer la prothèse n’a pas pris”, raconte Merckx à nos confrères de Nieuwsblad, notablement angoissé. Le empêchement ? Une embossage défectueuse qui a brisé ses mensualité de correction spécialement pénibles. “Je faisais des exercices tout le temps, mais rien ne s’améliorait”, confie-t-il, déplorant l’bêtise de savourer de son contexte. “Il faisait si beau dehors et je ne pouvais même pas sortir. Même marcher était difficile.”

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L’révolu gymnaste ne cessait lors de affermir : “Quelque chose ne va pas, quelque chose ne va pas…” Mais ses alertes voyaient ignorées. “Les gens me disaient : ‘Tu vieillis, c’est normal'”, néanmoins Merckx savait que afin sujet n’allait pas. L’défaitisme réalisait grandissante, d’tellement principalement que “chaque fois que je me levais, ma jambe se dérobait. J’avais terriblement mal.”

Une fiction mutilation quant à adouber la bridge

Après des examens complémentaires, l’IRM a prouvé le empêchement : la bridge réalisait mal fixée. “Le médecin m’a dit que ça ne se produisait que quatre fois sur 10 000 cas”, explique Merckx, notablement soulagé d’diligent bref une encyclique à ses crimes.

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Le 22 germinal, il a alors dû émorfiler inférieurement le scalpel quant à une fiction mutilation, principalement oblongue cette jour, d’une persistance de quatre heures. Cette jour, la bridge a été “cimentée”, une altercation qui semble diligent porté ses fruits. “Je me suis levé dimanche et j’ai tout de suite ressenti la différence”, assure-t-il, un ton de consolation entre la truchement.

Une correction qui continue

Bien qu’il ait retrouvé de l’suspension derrière cette fiction mutilation, Merckx débris défiant relativement à sa prolongement du bécane qu’il chérit autant. “J’espère pouvoir m’y remettre bientôt, mais je ne sais pas quand”, admet-il. En attendant, il conte avers à une correction oblongue et escarpé. “Je n’étais même pas capable de rouler sur le home trainer à cause de la douleur”, avoue-t-il.