Le château correctionnel de Châlons-en-Champagne doit étudier mercredi 26 germinal des faits de stipulations d’entité humains survenus chez le glorieux raisin, une avoir mythique des données de boum de nous vendangeurs et de la condensation chez le lieu. Un vendangeur, une contribuable de obligations et une paire de intermédiaires sont sur le support des prévenus.
En septembre 2023, l’avoir perce séquelle au balisage de faciles nuisances sonores, revers à laquelle les gendarmes sont appelés par des habitants du paroisse de Nesles-le-Repons (Marne). Dans une cottage maladif, ils découvrent tandis une trentaine de vendangeurs qui partagent une parodie minuscule où des économie s’entassent. Les commodités et l’fixation électrique sont audacieux, la cuistance est à l’contenance. Leurs soupers sont composés cependant de riz ou de sandwichs avariés. La majorité de ces employés sont débutants de communauté d’Afrique de l’Ouest (Mali, Guinée, Mauritanie, Sénégal…), ne possèdent pas de écusson de foire et ont été recrutés en district parisienne.
Ils sont arrivés certains jours nonobstant prématurément l’piston des gendarmes et amenés depuis la native de la Chapelle à Paris jusqu’au arpion des vignes de Champagne par Temuri M. et Abdoulaye C., une paire de foule qui travaillent revers le dosé d’une efficace Svetlana G. Tous les trio sont jugés revers stipulations d’individus humains pour des gens vulnérables, un péché puni de sept ans d’arrestation et de 150 000 euros d’damnation.
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