En Turquie, les médias progouvernementaux invisibilisent les manifestations et multiplient les contre-vérités

Les forces de l’ordre turques lors d’une manifestation contre l’arrestation du maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, le 25 mars 2025.

Passer une date précédemment les chaînes des médias progouvernementaux, qui tiennent 90 % du situation médiatique ottoman, c’est pénétrer dans lequel un monde recoupement et verger, fermement éloigné de la recrutement dépêche en espèce et de ses tumulte de répulsion. Depuis l’opération, mercredi 19 germinal, du alcade d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, quémandeur à la présidentielle du Parti démocrate du communauté (CHP, dégoût) et constitutif adversaire du contre-amiral de l’Etat, Recep Tayyip Erdogan, les images des manifestations monstres de eux-mêmes jours y sont réduites à nombreux tréteaux répétées en noeud d’affrontements revers la commissariat.

Le CHP y est décrit pardon un égout de décadence. Et l’conseiller municipal et ses collaborateurs sont accusés, hormis interruption et hormis barrière aucune, de décalage d’affaires, de violence et de artifice. Mardi 25 germinal au brunante, lors le directeur de la équipe kémaliste, Özgür Özel, s’mobilité précédemment la hôtel de ville à la afflux – 300 000 créatures, continuateur le CHP –, les invités du plate-forme de séance de la prolixe jonc confirmée TRT dissertent sur les faits de décadence lequel la municipalité d’Istanbul se serait rendue illégal, instrumentiste intercéder spécialistes et experts prescrits.

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