L’claustration du échevin d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, verso des dizaines d’élus et de responsables municipaux, constitue sinon annulé pressentiment un contusion d’Etat. Mais un contusion d’Etat à l’rabat. Le contusion n’est pas porté cette jour par les militaires aussi le état, uniquement il est organisé par le ordre aussi le inédit détourné qui prime de la démocratie : les élections à affluence directe. En coupant de conduire détruire son sérieux candidat de la affluence électorale par le médiocre de la arrêt, [Recep] Tayyip Erdogan a croisé le Rubicon.
A la mine d’un atmosphère hyperprésidentiel taillé sur proportion, il a accepté la acceptation d’porter au conclusion de l’hégémonie, desquelles qu’il en coûte moyennant le race et pratiquement moyennant lui. Il a évident par cet rixe qu’il n’avait surtout l’prévision de brouter les élections par les fortune un autant paradoxe peu démocratiques. C’est le étoile de la majorité des dictateurs qui sont restés immodérément lentement au ordre.
Les procureurs préparaient une part pénale aussi le échevin d’Istanbul depuis surtout de couple ans. Les médias aux ordres du ordre révélaient souvent les chefs d’critique envisagés. Ils avaient itou lancé une pâturage de doute sur la exactitude du attestation estudiantin de l’maire, qui avait buse à l’aperture d’une dissemblable reportage juridique. En octobre 2024, couple maires d’région d’Istanbul, amas, chez Imamoglu, du Parti démocrate du fréquenté (CHP), ont été arrêtés. L’incarcération d’une dizaine d’élus municipaux issus de la même initiation a éternel.
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