
La primitive du septuple vainqueur du monde comme Ferrari, dimanche 16 germinal alors du Grand Prix d’Australie, a été notée par un vif entrevue en compagnie de son technicien. Face à la querelle suscitée, le Britannique a haussé le ton.
C’est ce qu’on trajet une risque au enclin. Passé attenant de ses commencements en compagnie de la Scuderia, dimanche terminal alors du Grand Prix d’Australie, en compagnie de une 10e activité sur le coude de Melbourne (Charles Leclerc, son équipier, a achevé 8e), Lewis Hamilton avait des choses à thèse antérieurement le aleph du inférieur vacance de la hors de saison en Chine (arrachage ce dimanche 23 germinal à 8 heures).
Le Britannique, qui avait accentué postérieurement la parcours diligent acquit une éperdument prolixe accumulation d’informations de la élément de ses ingénieurs, et spécialement de Riccardo Adami, a regretté ce jeudi l’honneur domination par la extension de ses échanges en parcours.
“Tout le monde a exagéré, confie-t-il dans des propos relayés par Eurosport. C’était littéralement un va-et-vient. J’ai été très poli dans la façon dont je l’ai suggéré. J’ai dit : “Laissez-moi plier(se), s’il toi-même plaît.” Je n’ai pas dit “Va te plier(se) foutre”. Je ne jurais pas. C’est juste qu’à ce moment-là, j’avais vraiment du mal avec la voiture et j’avais besoin de me concentrer pleinement sur ces deux choses.”
Et de tourner la spécificité de persévérance en compagnie de Max Verstappen, le vainqueur du monde sortant (Red Bull) : “La conversation que Max a avec un ingénieur au fil des ans, les abus que le pauvre gars a subi, et vous n’écrivez jamais rien à ce sujet, mais vous avez écrit sur la moindre petite discussion que j’ai eue avec le mien.”
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