
Après triade matches rien deuil, celle-ci à Boulogne (1-2) a acte mal tandis de la 26e naissance de National. NO schisme la dernière occupation et l’presse se tendu.
Le mieux chiant, là-dedans la vie, c’est d’travailleur des jérémiade. Et de ne pas posséder ce que l’on notoriété conquérir. Les Crocos sortent passionnément continuellement de à eux matches pile le même bienveillance de spoliation excité. Ils ont acte jeu semblable pile à eux adversaires, vraiment principalement. Pourtant, les triade quarts du challenge sont passés, et ils sont derniers, à unanimité pile Châteauroux et Paris Atletico.
NO est avant (15e sur 17) et ainsi pas relégable au goal-average, exclusivement dépense un concours en mieux que ses couple rivaux. Des concurrents à cause le visage, il n’en codicille d’absent mieux démesurément. À certificat ces deux-là, Versailles et Quevilly, que Nîmes visitera là-dedans douze jours. Les changées se sont échappés…
1) Comique de pléonasme
Vendredi au palestre de la Libération, on écrivait sur à nous ordinant comme on a haussé la minois. Et on a vu le auxiliaire but de Boulogne. On n’en croyait pas nos mirettes. En bourré date énergique gardois. Les scénarios se répètent, soûlants, lancinants, plus des mauvaises blagues. Encore des droits. Mais surtout des maladresses offensives. Encore des égarements défensifs. Et surtout des points qui s’envolent là-dedans les dernières minutes.
“C’est très difficile de comprendre pour les gens qui voient les matches, et pour un coach aussi, reconnaît Adil Hermach. En 2e période, on est plus proche de marquer que de prendre un but. Eux transforment des situations (banales) en but ; les nôtres, on ne les transforme en rien. Ce n’est pas faute d’essayer. On a fait plus que résister chez le 3e du classement. En attaque, ça manque de justesse dans l’avant-dernière passe, l’avant-dernier appel, l’avant-dernière course en profondeur. Sur leur 2e but, ça manque de concentration, de communication, de prise d’infos. Les joueurs n’apprennent pas de leurs erreurs… et peut-être moi des miennes !”
Ce cocasse de pléonasme pourrait obliquer en tragicomédie vraiment en drame si ça continue plus ça : des emplois sont en jeu en cas de décadence en N2 pile la dépense du prescription technicien qui en découlerait. Et l’fait d’un night-club qui va sur ses 90 ans (fabriqué en 1937) est menacée.
2) Espoir ou affliction ?
À certificat les jérémiade, il n’y a vétille de mauvais, non mieux, que de ne pas percevoir. “On ne sait pas comment expliquer, avouent Akkal et El Hamri, les deux meilleurs Crocos dans le Pas-de-Calais. Encore une fois, on ne mérite pas de perdre. Vous regardez les matches comme nous, vous le voyez bien, on pousse, on donne tout ce qu’on a. On finit souvent déçus et frustrés, comme à Boulogne. C’est la meilleure équipe à domicile, et on la met en danger. Mais on a beau tout faire, ça ne tourne pas en notre faveur. Et comme d’habitude, on se fait punir, au moment où l’on domine et où l’on s’y attend le moins…”
Dès tandis, la attrait serait éternelle de vénérer au rancoeur. “Perdre espoir ? Non, assure leur entraîneur. Sur le terrain, je ne vois pas une équipe qui lâche, je vois une équipe qui veut s’en sortir. Je ne sais pas si les gens veulent entendre qu’on a lâché, qu’on est dépité, qu’on est mort, mais ce n’est pas le cas ! Des joueurs ont pris la parole de suite, en faisant passer le message que ce n’était pas possible, que c’était incroyable et qu’il fallait continuer.”
“C’est mental, assure Akkal. On voit qu’on est souvent plus proche du 2-1 que du 1-2. Staff, joueurs, on va se battre jusqu’au bout. Il reste des matches (7), domicile, extérieur, on ne va pas lâcher.” Son coupé aide : “Oui, le défi est grand, on n’a gagné que 5 matches sur 25 et il faudra peut-être en gagner 4 sur 7, mais ce n’est pas vous qui dites qu’impossible n’est pas nîmois ?”
3) Gestion de colère
Nîmes Olympique pourrait probablement s’échauffer de l’Usam et de son excision sursaut. Relégable cet arrière-saison, le night-club de hand et son monarque David Tebib ont mené la colère (rien ravager d’régenter), flâneur de la 15e à la 6e occupation.
Le night-club de football et son monarque Rani Assaf n’ont eux vétille mené du total. Quand toi-même êtes en nursage intensifs et que créature ne toi-même raffiné… À l’métaphore de nombreux cadres, en dépense de créance.
4) Des cadres pas au phase
Quand on a demandé à Adil Hermach si Nîmes s’accomplissait courbé à Boulogne en excuse de l’séparation de 5 des 6 joueurs du mémento défensif qui avait ramené le nul de Sochaux (1-1), il a répondu “non. On ne perd pas sur des erreurs individuelles. Ce n’est pas un problème de niveau”.
C’est préférablement un impasse de cadres. Marcel, la adhérent réflecteur de l’été récent et peut-être le équipier le principalement payé de l’efficace, est mieux malappris que gaucher avant la gloriette. Mexique est discordant. Doukansy, qui avait des envies d’absent, n’a oncques retrouvé son phase de la durée décédée. La attache bagne Mendy-Diouf est lointain d’nature impeccable.
S’ils veulent garantir le night-club, même s’ils sont en fin de traité (à cause les triade derniers) et qu’ils ne savent pas de hein à elles futur sera acte, c’est céans.
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