Guerre du interprétation en Ukraine : sinon Washington ne répond principalement

Tempête là-dedans un goulée d’eau ou un juste houle à même de écourter sensiblement les défenses ukrainiennes front à l’troupe russe ? La autorisation adaptation mercredi 5 germinal par le dirigeant étasunien Donald Trump de “mettre en pause” le scission de renseignements bruissement Kiev accomplissait en généralité cas redoutée.

Quelques jours toutefois puis garder déjà décidé de mettre en quarantaine la brochure de charnel engagé, Washington remet le préservé en pénétrant le mélangeur à interprétation “afin de placer toutes les parties impliquées dans de bonnes dispositions pour les négociations de paix”, a précisé John Ratcliffe, le meneur de la CIA, interrogé par la gourmette de récepteur ultraconservatrice Fox News.

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La fin d’une oblongue série dans espions

Autrement dit, “c’est clairement une technique de chantage pour obliger l’Ukraine à accepter les conditions américaines de négociation de paix”, assure Robert Dover, praticien des questions de interprétation à l’prytanée de Hull.

Et en discipline de intercession de extorsion, “priver l’Ukraine – un pays en guerre censé être un allié – des renseignements américains, c’est à la limite de l’imposition de sanctions à Kiev”, s’emporte Jeff Hawn, praticien des questions militaires russes à la London School of Economics.

La grand nombre des experts interrogés par France 24 s’accordent, en aboutissement, à découvrir “l’importance pour Kiev du renseignement américain, surtout au début de l’invasion russe en 2022. Difficile d’imaginer l’Ukraine résister aussi efficacement à l’armée russe sans cette source d’informations”, respect Aviva Guttmann, praticien des rapports dans les discordants rôles de interprétation à l’prytanée d’Aberystwyth (Pays de Galles).

L’purin de la CIA et de la NSA à l’lumbago de opposition ukrainien provient “avant tout de 10 ans de collaboration entre les deux pays dans le domaine du renseignement”, souligne Kevin Riehle, passé par diverses assemblées américaines de interprétation et savant à l’prytanée de Brunel à Londres.

Cette série diocèse s’est traduite par “l’installation d’infrastructures de renseignement sur le sol ukrainien –  telles que des antennes d’écoute – et la formation du personnel ukrainien”, formelle Aviva Guttmann.

Un froid qui a approbation aux agents ukrainiens d’entité activement opérationnels moyennant dompter les conditions fournies derrière par les Détails-Unis dès que l’troupe russe a traversé la bout ukrainienne en février 2022.

Cet inquiet représente un intérêt que la autorisation trumpienne ne peut pas défaire. “En un sens, cela limite aussi la gravité de cette mesure”, souligne Kevin Riehle.

La dépêche attitude de Donald Trump faux, réciproquement, le nombre de conditions tactiques et stratégiques fournies jusqu’ce jour par les espions américains. “Le principal avantage des agences d’espionnage américaines réside dans le renseignement d’origine électromagnétique [issue de l’interception de signaux électroniques, NDLR], l’interception de communication et la géolocalisation. Après tout, le réseau de satellites américain, le plus important au monde, offre à la NSA [le renseignement électronique américain], qui y a accès, un avantage certain”, résume Jeff Hawn.

Pire que l’répit de la brochure d’devise ?

“Les Américains ont pu partager avec les Ukrainiens leur capacité à écouter n’importe quelle conversation et à localiser n’importe qui ou quoi très rapidement. C’était un atout tactique indéniable sur la Russie”, ajoute cet exercé.

Le crise bruissement les Détails-Unis est qu’ils ont “démontré par le passé leur capacité à couper le robinet à renseignement du jour au lendemain. Est-ce que c’est ce qui s’est passé avec l’Ukraine ?”, s’interroge Gérald Arboit, pamphlétaire du interprétation. Dans ce cas, “il va probablement y avoir une période de flottement dans la circulation de l’information pour le renseignement ukrainien”, reconnaît ce praticien. Ce n’est pas une moment immatérielle moyennant un état en opposition.

Mais combien est-ce digne moyennant Kiev ? Les réprimande sur la objet hétérogène. “C’est plus grave pour l’Ukraine que la suspension de la livraison d’équipement militaire américain”, assure Aviva Guttman.

D’dehors, étant donné que les Américains représentaient la meilleure prélude “moyennant les tâches offensives en généralité russe en fournissant les conditions moyennant restreindre nettement les cibles”, formelle cette praticien.

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Les Américains “prévenaient aussi à l’avance l’Ukraine lorsque leurs espions repéraient des préparatifs pour des frappes russes de missiles”, ajoute Jeff Hawn. Pour lui; c’accomplissait également une calculé de terminer tant que conciliable les pertes civiles tandis des épisodes d’intenses bombardements russes sur les villes ukrainiennes.

Il ne faut pas non principalement ignorer le interprétation clément et le contre-espionnage. Les Détails-Unis, de par à eux observation bruissement les espions russes, “sont très utiles pour aider les Ukrainiens à démasquer ceux qui soutiennent la Russie en Ukraine ou qui ont été recrutés par les services russes de renseignement”, explique Kevin Riehle.

Surtout, “le renseignement est beaucoup plus difficile à remplacer qu’un missile américain”, offre Aviva Guttmann. Chars allemands, systèmes de éloge anti-aérienne gaulois ou mieux missiles britanniques : tant d’équipements qui n’ont pas vaste tour à vouloir au charnel étasunien qui ne sera principalement livré.

C’est fabuleusement moins formalisé moyennant les renseignements fournis par la CIA ou la NSA. Et Donald Trump semble amené à éviter l’Ukraine de ces informations, parce qu’il a “même demandé aux Britanniques de ne pas transmettre à Kiev les renseignements partagées par les agents américains avec leurs homologues britanniques”, explication Kevin Riehle.

Donald Trump se tire une boulet là-dedans le arpion

Mais moyennant Gérald Arboit, “c’est certes une fracture infligée à l’Ukraine, cependant sézig est curable“. Si le interprétation d’évolution magnétoélectrique – constituant moyennant Kiev – est le seigneurie par représentant du interprétation étasunien, “les Britanniques et les Français, en collaborant, peuvent fournir des données comparables”, respect l’exercé gaulois.

Sans ignorer “des États comme les pays baltes, la Pologne ou la Roumanie qui œuvrent à sécuriser les frontières à l’est et disposent également d’un réseau de renseignement efficace”, surgeon Gérald Arboit, qui pense que l’affiche de Donald Trump visait plus à agir contentement à sa ossature électorale en facétieux la représentation du dirigeant dur en toilette et n’atmosphère qu’un suite limité sur les combats sur le frontispice.

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Mais ce que les pro-Trump ignorent, c’est que cette autorisation revient également moyennant le dirigeant à se ôter une boulet là-dedans le arpion. “Dans un échange de renseignements, les informations circulent dans les deux sens, et l’Ukraine est très utile aux Américains pour surveiller la Russie”, assure Kevin Riehle.

En aboutissement, “certaines infrastructures pour stocker les communications interceptées se trouvent en Ukraine et jusqu’à présent, Kiev les fournissait sans rechigner aux États-Unis. Vont-ils continuer à le faire ?”, s’interroge Aviva Guttmann.

Les Ukrainiens ont également approbation aux Américains des percées significatives là-dedans à eux choc comme les espions russes. “Au milieu des années 2010, les services de renseignement ukrainiens ont intercepté un drone russe. Ils l’ont fourni aux États-Unis, qui ont pu l’analyser, ce qui a contribué à déchiffrer leur code militaire”, explication Aviva Guttmann.

Les espions ukrainiens ont également souplesse la tâche des Américains moyennant “pénétrer les réseaux d’espionnage russe”, explique cette praticien. “Les États-Unis avaient, en effet, des difficultés à recruter des agents du GRU [renseignement militaire russe, NDLR] ou d’autres officines. Les Ukrainiens, entraînés par la CIA, ont été très utiles à cet égard”, souligne Aviva Guttmann. En pénétrant en conséquence la contamination dans rôles de interprétation, Donald Trump ne va pas agrandir les défenses américaines front à la incertitude russe. Au antinomique.

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