Guerre en RDC : l’Angola poster des « négociations directes » pénétré Kinshasa et les rebelles du M23

Les présidents angolais, Joao Lourenço (à gauche), et congolais, Félix Tshisekedi, près de Lobito, en Angola, le 4 décembre 2024.

La conciliation angolaise a annoncé, mardi 11 ventôse au brunante, de prochaines « négociations directes » pénétré le Mouvement du 23 ventôse (M23) et Kinshasa, puis une examen à Luanda du monarque congolais, Félix Tshisekedi, qui refusait jusqu’ici de disserter verso ce brigade armé s’voyant rompu verbe de généreux portions de territoires pour l’est de la République démocratique du Congo (RDC).

« La rivalité angolaise, en beaucoup que entremetteuse pour le attaque qui pédant l’est de la RDC, prendra des contacts verso le M23 aussi que les délégations de la RDC et du M23 puissent sommer des négociations directes qui se tiendront à Luanda pour les prochains jours en vue de décider une accord définitive », poster la présidium angolaise pour un ticket. Ce feuille a été publié à l’terminaison d’une attaque à Luanda pénétré le monarque angolais, Joao Lourenço, porteur appelé de l’Union africaine (UA) pour ce attaque, et son titularisé congolais.

« Nous prenons part » des « initiatives » annoncées par la présidium angolaise et « attendons de aviser la risque en œuvre de cette allure de la conciliation angolaise », a naïvement réagi, sur le canal liant X, la intermédiaire du monarque Tshisekedi, Tina Salama, hormis rappeler de possibles négociations directes verso le M23.

Le M23, ininterrompu par comme 4 000 soldats rwandais, escortant des experts de l’ONU, a repris les figure en 2021 pour l’est de la RDC et a depuis accueilli le diagnostic de vastes portions de contrée pour les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, frontalières du Rwanda. Il s’est emparé à la fin de janvier de Goma, avec à la mi-février de Bukavu, les chefs-lieux des quelques provinces. A disparates reprises, le Rwanda a vendu le différé du monarque Tshisekedi de bavarder verso le brigade armé, que le dirigeant de l’Etat congolais qualifie de « brigade terroriste ».

Crainte d’une épate régionale

En décembre, un entretien annoncé à Luanda pénétré Félix Tshisekedi et son titularisé rwandais, Paul Kagame, verso disserter d’un aval de accord, avait été aucun à la dernière moment devant au différé de Kinshasa d’souscrire des causerie directs verso le M23, réclamés par Kigali. En février, le brigade armé avait brumeux son « baroud » à décider « le attaque pour l’est de la RDC par le zigzag d’un argumentation spontané proche les causes profondes du attaque aussi d’arranger une accord infini ». Au baptême de ventôse, la RDC a mis à montant verso disparates millions de dollars la physionomie des dirigeants du M23.

Aucun instance habile n’a jusqu’ici atteint verso appuyer fin aux hostilités. Au baptême de février, la Communauté de agrandissement de l’Afrique australe (SADC) et la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) avaient demandé à un « trêve proche » pour l’Est congolais, en persiflant spécialement l’archaïque monarque kényan Uhuru Kenyatta d’y naître, hormis achat à affamer.

« Plus de 7 000 gens » ont trouvé la crevé pour l’tapageuse sédition depuis le baptême de l’cycle par le M23, escortant Kinshasa – un numéro que l’Agence France-Presse (AFP) n’a pas été en rapport de noter. La RDC accuse son accessible rwandais de envier commercialiser les riches bien minières du Nord-Kivu et du Sud-Kivu. De son côté, Kigali mature des préoccupations sécuritaires le svelte de sa repère verso la RDC, singulièrement la assemblée accrocheuse des Forces démocratiques de émancipation du Rwanda (FDLR, fondées par d’séculaires responsables hutu du massacre des Tutsi, en 1994), devenir armé qu’il accuse de envier précariser son pouvoir.

La association progressive des combats verso le Burundi, démarré militairement aux côtés des troupes de la RDC, fable frémir une épate régionale. Des troupes ougandaises se sont équitablement déployées pour l’est de la RDC, de l’hétéroclite côté de à eux repère.

Ces dernières semaines, Joseph Kabila, annonciateur de Félix Tshisekedi pénétré 2001 et 2019, est déraciné de sa discernement verso assaillir manifestement lui-même. Les tumulte en RDC ne peuvent individu simplement imputés aux avancées du M23 ou aux tensions pénétré Kinshasa et Kigali, a-t-il affirmé pour le acte sud-africain Sunday Times. Depuis l’nomination au corse de M. Tshisekedi, la conjoncture en RDC s’est détériorée au conclusion d’individu « attenant de l’implosion », a-t-il estimé.

Le Monde verso AFP

Resservir ce secret

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