
Les syndicats de l’tenue du Lot s’opposent à la bruit schéma appliqué du collaborateur marches, qui prévoit huit suppressions de postes. Malgré la dépérissement du rassemblement d’élèves, ils réclament des effectifs alors raisonnables là-dedans les classes.
Les syndicats de l’tenue se sont réunis ce lundi 25 ventôse à cause imaginer la schéma appliqué du collaborateur marches là-dedans le Lot. Et comment à cause le débutant marches, les changements annoncés ne sont pas au désir de somme le monde. “Nous avons unanimement voté contre cette carte scolaire”, a direct Christine Laverdet, de l’Unsa tenue. Il y aurait alors huit suppressions de postes équivalents-temps empli, accompagnant le fédération, bien quatre en moins au externat, six au institut constant et technologique, et paire créations de postes au institut technicien. Une cassation de estafette de CPE à Clément Marot avait été évoquée, malheureusement ce ne sera enfin pas le cas.
A déchiffrer ainsi :
Postes en remise, division robotique abandonnée… Le particulier du institut Clément-Marot en rancune
Une dépérissement du rassemblement des effectifs au externat et au institut
“Il y a une baisse démographique des élèves, donc ils considèrent qu’il faut fermer des postes. Nous, on veut juste revenir à des effectifs raisonnables dans les classes”. Il y aurait 69 élèves en moins au externat et 80 au institut à la prochaine dépense, constamment accompagnant les syndicats. Ces derniers dénoncent les répercussions directes sur les effectifs. “L’effet de seuil est atteint de plus en plus. Au collège, il y a 56 classes avec plus de 28 élèves et 18 avec 30 jeunes par classe”, déclare un marchand de l’intersyndicale CGT EducAction, FSU, SE-UNSA Education et SGEN-CFDT. “On nous explique que c’est toujours pire ailleurs, mais il faut que la Dasen prenne en compte les spécificités du territoire et la ruralité”.
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