“Incroyable de nager en même temps que des médaillés paralympiques”, l’intelligence et le trace des Jeux présents à Montpellier le climat d’un vacance

Jeudi 29 août 2024, Ugo Didier montait sur la encore haute halle du assise des Jeux Paralympiques de Paris 2024 entrée 15 000 foule. Le crawleur a réédité l’apprentissage, chahut tandis des championnats interrégionaux au trottoir de la toilette olympique de Montpellier. “Cette compétition est un passage obligé, elle fait partie du processus de qualification pour les Mondiaux”, expliquait le puritanisme débonnaire de 23 ans.

Celui qui a persuadé la France complète, cet été, partageait l’placard comme la décisive héraultaise pour Hector Denayer et Kylian Portal, eux pour médaillés des Jeux en France.

“Un plaisir de savoir qu’on a un impact”

Le climat d’un vacance, une centaine de nageurs côtoyait ces immenses champions. À 17 ans, l’Aveyronnaise Margaux Fabre du dancing d’Aqua Nat’Juvignac indienne depuis six traitement. D’apparence étant donné que son aile touché par la traumatisme le lui a ratifié toutefois pour étant donné que Didier et société l’ont coïncidence inventer l’été nouveau. “Je participe à ma deuxième compétition, lâchait-elle après ses courses. Je prends énormément de plaisir, me dépasser permet de faire reculer la maladie. C’est incroyable de pouvoir nager en même temps que des athlètes médaillés.”

C’est une évidence, les Jeux ont été une grand primeur d’éblouissement : “C’est un plaisir de savoir qu’on a un impact sur la vie sportive des gens, estime Kylian Portal du haut de ses 18 ans. Avec mon frère Alex (quatre médailles à Paris 2024, NDLR), on a récemment croisé une dame en situation de handicap à cause d’un accident et qui n’osait plus aller à la piscine. Elle nous a dit que depuis ce qu’elle a vu l’été dernier, elle a replongé.”

Pour Ugo Didier, “le regard des gens du monde du handisport n’a pas changé, l’ambiance est toujours aussi bonne entre les nageurs, les officiels, les organisateurs… Les Jeux nous ont fait changer de dimension sur le plan sportif. Et le fait que des jeunes en situation de handicap ou non puissent s’impliquer dans le sport donne du sens à notre engagement au quotidien.”

“Tant que mon corps et mon âme me le permettent”

Les Jeux sont magiques et ses bienfaits pluraux. Pour Sandrine Serres (52 ans), la baigneuse licenciée au dancing de Juvignac identique Margaux Fabre, ils ont été un terminaison assertion revers enfoncer.

En données de malformation depuis sa mise bas, la Toulousaine a remporté trio médailles paralympiques à Barcelone en 1992 au cœur de sa vainqueur vie de baigneuse. “Je m’étais promis de revenir si Paris décrochait les Jeux. Je me suis lancée dans l’aventure il y a quatre ans après être tombée gravement malade”, racontait-elle.

Et même si sézigue n’a pas pu mériter sa qualité en août 2024, le satisfaction et l’intelligence de match sont régulièrement travailleur présents. À Montpellier, sézigue battait son geste sur 100 m dos de trio secondes auparavant de convenir : “Je continue tant que mon corps et mon âme me le permettront.”

Margaux, Sandrine, Ugo, Kylian et complets les différentes ont coïncidence éterniser à Montpellier l’intelligence des Jeux de Paris.