
Les retraits de délégation et les votes des originaux adjoints, puis le sacrilège Plantier/Proust, a été validé ce mardi déclin, en congrès remarquable.
On n’avait pas vu tellement de monde en briefing communal depuis travailleur longuement. Pour cette concile “exceptionnelle”, programmée un mardi déclin (les conseils ont majoritairement endroit les samedis clébard) l’émanation rencontrait électrique. Au planning : le évacuation répandu des délégations quant à onze élus décidé par le bourgmestre puis la filiation du assemblé Nîmes ultérieur porté par l’ex élémentaire adjuvant insoumis Julien Plantier et son brigade.
“Ce qui importe désormais, c’est de me projeter vers l’avenir avec sérénité et engagement, a déclaré Jean-Paul Fournier en préambule […] Fort de cette dynamique, je me donne les moyens, avec cette nouvelle équipe, d’agir toujours plus efficacement.” Avant que la neuve brigade ne sinon validée par les élus, l’concurrence a attaqué la sentence.
Les progressistes (épicentre intègre) d’voisinage, par la entremetteur de Valérie Rouverand, elle touchée par une point presque adapté il y a sept ans : “Ce déballage est délétère et contreproductif, les Nîmois ont parfaitement compris que la seule raison de cette situation, ce sont des querelles d’ego masculin. Une caricature de rapport de force qui prêterait à sourire « jaune » si elle n’était pas l’illustration d’une conception passéiste de l’exercice du pouvoir.” L’préférée centriste a favorable le alignement de son assemblé : il votera quant à le évacuation des délégations.
Le RN qui n’estime “ni les ingrats ni les traîtres” emboîté les pro-Plantier
Le RN, lui n’est pas de cet annonce. “Ces guéguerres ont déjà coûté cher à la ville. Nous voterons la suppression des fonctions des élus que vous nous demandez aujourd’hui car nous n’aimons ni les traîtres, ni les ingrats”, a carré Laurence Gardet.
Nîmes citoyenne à grossier, finalement, contrecoup par Vincent Bouget, a revue aussi miss ne prendrait pas section aux inégaux votes, repoussant de être à une désaccord de suite, très en ciblant le néophyte Premier adjuvant : “Aujourd’hui, nous constatons la prise en main du pouvoir par Franck Proust, qui a décidé de tout verrouiller.” S’indignant d’un “spectacle très politicien”, “indécent” dans “ceux qui dirigent la ville depuis 17 ans pour l’un et 24 ans pour l’autre”, il a prononcé le “fossé considérable entre les préoccupations des citoyens et les manifestations d’autocongratulation”.
“M. le maire, j’aimerais la parole s’il vous plaît”
Au situation de infirmer les délégations du Premier adjuvant, Julien Plantier s’est adressé avec complaisance à Jean-Paul Fournier : “M. le maire, j’aimerais la parole s’il vous plaît”. “Vas-y si tu veux parler, parle !” a rétorqué Jean-Paul Fournier, embêté. “Il y a deux semaines, vous avez pris une décision et aujourd’hui, vous comptez la faire exécuter par le conseil municipal. C’est votre droit le plus strict.” “C’est la loi, c’est la loi !”, a maugréé Jean-Paul Fournier. “Notre sentiment, c’est celui de l’injustice a continué Julien Pantier. En 2020, lorsque vous nous avez confié nos délégation, c’était pour nos compétences, pour nos profils. En quoi l’annonce de ma candidature aurait fait défaut à l’exercice de ma fonction d’adjoint ? Avons nous perdu en compétences ? Serions nous devenus, instantanément, incapables de siéger en commission ?”
“Tu es un menteur !”
Le cooptation s’est passé puis organisé : la grossier n’a pas participé, le RN et les pro-Proust ont voté quant à le évacuation des délégations après que les immémoriaux adjoints de Nîmes ultérieur ont voté quant à le évacuation de à eux délégations, soutenus par les centristes de Valérie Rouverand et Yvan Lachaud. Ce final, vieil challenger de MM Proust et Fournier, a alors attaqué la sentence, dénonçant des “méthodes impensables, inimaginables de la part de la majorité municipale ! On n’a pas, dans la vie, à rester soumis à n’importe quel prix !” “Je n’ai pas de leçons à recevoir d’un menteur. Tu es un menteur ! ” s’est émoustillé le bourgmestre à l’opposé de celui-ci qui fut, lui encore, son élémentaire adjuvant il y a travailleur longuement. N’avait-on pas oral, en arrivage de briefing, de apaisement ?
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