Qui se éclipse subséquemment les coupes de chevelure des joueurs de Premier League ? Très usuellement le même serviable, Senyo, qui s’est forgé sa confiance à ascendant de recommandations. Il est boni avec le Sun sur une décennie d’anecdotes glanées endéans ses heures de devoir.
Senyo est figaro. À ascendant de devoir, il est rastaquouère à entrebâiller son apte salle. Surtout, il est devenu la signe avec la grand nombre des joueurs de Premier League également le révèle le traditionnel anglais The Sun. Kai Havertz, Enzo Fernandez, Martin Odegaard, Mason Mount, Bruno Fernades ou Bukayo Saka, entiers sont passés en dessous sa tondeuse.
Cette confiance, il se l’est faite aise à un aise aubaine. Alors qu’il coiffait un neuf adolescent que sa nourrice amenait chez son salle, cette dernière lui sollicitation s’il se déplace impartialement avec des coupes à résidence. Ce qu’il accepte.
A dévisager moyennant :
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“Je suis arrivé à la maison et Rami (l’international brésilien Ramires, NDLR) a ouvert la porte. Je ne pouvais pas y croire”, raconte-t-il. De là, continuum s’enchaîne. Il agrandit son circonférence de contacts et commence à apprendre avec les joueurs brésiliens, “parce qu’ils traînaient ensemble”. Il dynamisme singulièrement les chevelure d’Oscar et de Willian, les coéquipiers de Ramires à Chelsea et en collection.
Voyage mensuel en Chine… Pour une dynamisme de chevelure
Il développe une analogie égoïste revers ses clients. “Ils sont en confiance donc nous pouvons parler de ce que nous voulons que ce soit de la famille ou de quoi que ce soit d’autre”, explique-t-il, précisant qu’il lui arrive même de reluquer du football en régiment de ses respectable clients.
Pour maints, il devient même irréalisable, au vu de cette analogie élue, d’examiner de se plier(se) diviser les chevelure par personne d’contraire. Les joueurs d’Arsenal et de Manchester United l’ont donc invité à à eux balade de présaison en 2024.
Plus fou principalement, il se souvient qu’en conséquence son redistribution en Chine en 2016, Ramires le faisait sans cesse atteindre. “C’était tout le temps. Au moins une fois par mois, parfois deux fois par mois. C’était un voyage de trois ou quatre jours”, a-t-il témoigné contre du Sun. Pour le Brésilien, son égratignure de cisaille n’avait décidément annulé grade.
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