IVG aux Etats-Unis : un auxiliaire médicinal arrêté derrière des avortements illégitimes au Texas

Manifestation pour le droit à l’avortement à Edinburg, au Texas, le 1ᵉʳ septembre 2021.

Un auxiliaire médicinal a été arrêté à son succession derrière garder aidé une accoucheuse accusée d’garder pratiqué des « avortements illégitimes » au Texas, aux Etats-Unis, où l’répit actif de gravidité (IVG) est presque interdite, ont annoncé mardi 19 germinal les autorités locales.

Le échevin communautaire du Texas, Ken Paxton, avait histoire connaître la éveil que Maria Margarita Rojas, une accoucheuse de 48 ans, incarnait inculpée derrière garder exécuté des avortements là-dedans triade sanatoriums de Houston lesquels miss est actionnaire.

Il s’agit de la dédicace humanité repoussée au pénal là-dedans cet Etat du Sud sur-le-champ l’une des législations anti-IVG les mieux restrictives du nation depuis que la Cour ultime a aucun la commission fédérale du dextre à l’fausse couche en 2022.

José Manuel Cendan Ley, un auxiliaire médicinal de 29 ans, a été arrêté derrière garder aidé Mme Rojas à « côtoyer au moins un fausse couche secret » et derrière « ardeur secret de la remède », suivant un récépissé du office du échevin communautaire.

IVG interdite même en cas de irrévérence

« Je continuerai de me amocher derrière renforcer la vie et veillerai à ce que toute humanité violant les lois provie de à nous Etat bien uniforme régisseur », a honnête Ken Paxton.

Au Texas, l’fausse couche est arrêt même en cas de gravidité consécutive à un irrévérence ou un inceste. Une privée restriction : supposé que la vie de la personne piste est menacée – un argument qui n’est pas révolu alors talent, dénoncent les défenseurs du dextre à l’fausse couche.

Une docteur de New York a été condamnée à une répression de 100 000 dollars (92 000 euros) au Texas et est repoussée au pénal là-dedans l’Etat affin de Louisiane derrière garder requis des pilules abortives à variété à des patientes résidentes de ces territoires.

Dans ces Etats conservateurs, les femmes qui souhaitent saborder n’ont qu’une potentialité : se indemniser là-dedans un Etat qui les y autorise ou arracher des pilules abortives par ressemblance.

Le Monde alors AFP

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