“Je ne me prenais pas au sérieux” : un Toulousain vise le assise cosmique d’HYROX postérieurement sa gain émerveillement à Marseille

“Je ne me prenais pas au sérieux, j’allais à la compétition tranquillement, sans attentes”. Ces mots d’Antoine Reisdorffer, 28 ans, résonnent surtout lorsqu’il repense à sa inauguration collaboration à la conflit d’HYROX, en décembre frais, à Marseille. Pourtant, ce jour-là, le Toulousain est monté sur la inauguration affirme du assise, afin toute sursis.

L’HYROX, discipline impur surtout peu connue, allie tour pédibus cum jambis et tâches de contraint fonctionnelle. L’hibernation frais, c’est monsieur somme comme le contentement qu’il s’est tracé primo de la conflit aménagée au Parc Chanot. “Franchement, je n’y croyais pas. J’étais là sans pression, juste pour l’expérience. Et finalement j’ai réalisé un temps de 59 minutes et 59 secondes”, se souvient-il.

Depuis cette gain inattendue, Antoine a changé de cap. Désormais, il se manipulé plus formé comme la prochaine tour, qui se tiendra mi-avril au Grand Palais, à Paris. “Tout a basculé après les championnats d’Europe à Vienne, en février. J’ai terminé 10e dans ma catégorie et 3e au classement français. Là, j’ai commencé à me prendre un peu plus au sérieux”.

Une discipline exigeante, un contrat intégral

En juin adjacent, Antoine s’envolera comme Chicago, où il représentera la France aux championnats du monde d’HYROX. Mais pas tourment de aliéner à la chantage. “Je ne ressens pas d’appréhension particulière. Même si je prends la compétition plus au sérieux, je vais continuer à suivre ma stratégie d’entraînement”.

Son usuel est désormais rythmé par un exemple violent. Élève en kinésithérapie et vieux laborantin matériau, il ne consacre pas moins de 11 heures par semaine à sa sentiment : 8 heures de tour pédibus cum jambis et 3 heures de bodybuilding. Un contrat exclusif qu’il assume intégralement. “Peu importent les sacrifices : je pars aux États-Unis avec la volonté de tout donner. Et cette fois, j’espère bénéficier d’un soutien encore plus fort de ma communauté”.