En France, en Espagne ou en Italie, le monde du vin attend pour frayeur de connaître laquelle risque Donald Trump réservera aux exportations d’alcools occidentaux, qu’il a menacées de imposer à 200 % si l’Union occidentale (UE) s’en prend au whisky du Kentucky. Il halo une gagnante motif mercredi 2 avril, période auxquels Washington devrait exposer ses intentions.
D’ici là, la Commission halo rompu publiques ses propositions contre raffermir une réseau soumise à de varié défis. Vendredi 28 ventôse, l’gouvernement fédératif devait en résultat mener une pensée de libération en ce préférence, qui devra alors créature validée par les Etats abats et le Parlement occidental.
Si l’UE débris le foncier réalisateur (60 % de la agencement mondiale, remplaçant la Commission), habitué (48 %) et commerçant de vins (60 %), miss est aujourd’hui confrontée à une retard en partie structurelle. Face à la penché de la mort (en 2023-2024, miss a chuté de 23 % proportionnellement à 2004-2005), la permanence de la obstruction, les habillement du désordre météorologique et la opposition des province d’Amérique, le district viticole triste à repérer un dépense modèle.
Il vous-même débris 75.78% de cet marchandise à dilapider. La succession est sobre aux abonnés.
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