
De la Gironde à l’Aude, en touriste par les Pyrénées-Orientales, l’Hérault ou le Gard, rien réserver la Charente, l’arrachement de vignes est à l’œuvre. Signe certain de la aigreur que montant la trépan viticole française. Dans les ramassé bassins viticoles producteurs de vins rouges, l’moment est à la cachexie du possible de abus. De même qu’à Cognac. « Structurellement et conjoncturellement, la circonstance s’est plus aggravée pour ainsi dire universellement ceux-là salaire », constate Bernard Farges, vendangeur pendant lequel le Bordelais et responsable du Comité territorial des interprofessions des vins à dénomination d’source et à piste géographique (CNIV).
Depuis nombreux années, les cuves débordent. Avec, dans conclusion, une douloureuse ascendant sur les montant. Même si la récolte 2024 a été peu riche, l’abus d’froid disposant plaisanté les attentats de mildiou, les stocks sont plus là. Pour amplifier cette circonstance admirable, chaque personne évoque le monstre de déconsommation de vin et, quelque essentiellement, de vin Afrique. Une direction qui n’est pas récit.
La décrue a ébauché au volute des années 1960. Selon le CNIV, les volumes absorbés par les Français ont été à peu près divisés par quelques, touriste de 46 à 22,7 millions d’hectolitres en 2024. Le tour de flux est essentiellement marqué pendant lequel les supermarchés, où s’écoule une carafe sur quelques. En 2024, les ventes en prolixe dispense se sont plus érodées, sur un an, de 4,1 % en livret et de 2,3 % en action, dans un ascensionnel courant estimé à 5,8 milliards d’euros.
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