“L’armagnac ne survivra pas à une taxation de 200 %” : Benjamin Haddad interpellé au matière des honnêtes de douane américains

Guerre en Ukraine, surtaxes chinoises et céans honnêtes de douane américains : les producteurs d’eau-de-vie sont otages depuis hétérogènes appointement d’un milieu géopolitique de surtout en surtout apathique. Le responsable du assemblée départemental du Gers, Philippe Dupouy, n’a pas manqué de le frapper ce lundi au excellence courrier chargé de l’Europe, Benjamin Haddad, en recherche à Auch.

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“L’annonce par Donald Trump de nouvelles taxes douanières américaines, notamment sur les vins et spiritueux, représente une menace directe pour nos producteurs gersois et suscite de grandes inquiétudes pour l’avenir de nos filières et notre économie. L’armagnac, fierté de notre territoire, ne survivra pas à une taxation de 200 %”, a-t-il droit, espérant que la France et l’Europe mettront très en œuvre “pour contrer ces augmentations et défendre avec force le maintien du statu quo fiscal”.

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Face à la peur, Benjamin Haddad assure que le direction est “tout entier mobilisé” quant à garer cette mèche d’diplomate. “La meilleure façon d’éviter une guerre commerciale, c’est de montrer qu’on est capable de se défendre, qu’on est capable de répondre et d’assumer des rapports de force. Cela avait été le cas lors du premier mandat de Donald Trump. Déjà, on avait eu des tarifs, nous avions su y répondre, et c’est précisément ce qui avait mené à la fin de cette guerre commerciale. C’est ce que font aussi le Mexique et le Canada. Nous ne souhaitons pas une guerre commerciale. Le protectionnisme n’est dans l’intérêt de personne, mais on se défendra et on assumera de défendre nos intérêts”, a-t-il accéléré.