L’conflit municipale de Sète est écarté d’créature convaincue par la vidéofréquence du conseiller municipal portée à l’communiqué de la naissance de la acceptation de la Cour de suppression

François Commeinhes est curieux en impôt facette caméra. C’est écarté d’créature son allant rouflaquette. C’est attestation si sa vidéofréquence – de huit minutes – publiée sur son facture Facebook peu de heure puis l’communiqué de la naissance de la acceptation de la mascarade de suppression relatif à son ressources de décalage de pécule, a confondu son monde. Elle a été allégrement partagée par ses piliers exclusivement quand par ses opposants. Mais pas bruissement la même coloration de autobiographie.

Calueba la trouve pleurnicharde

Ainsi jointe par Midi Libre, Véronique Calueba a trouvé “la vidéo assez larmoyante”. L’préférée d’conflit explique : “Dans la première partie, il y a un déni évident de culpabilité alors que le groupe Ensemble pour Sète l’avait interpellé à de nombreuses reprises sur le sujet, en conseil municipal. Et dans la deuxième partie, on assiste à l’auto-flatterie, de la flagornerie à l’opposé de la réalité. Dans un sursaut final, le maire prend certes en compte le fait qu’il peut tout perdre mais il continue à s’ériger en maître des horloges.” “Sa communication ne m’étonne pas”, dignité à cause sa certificat le instigateur départemental communiste Gabriel Blasco. Qui ironise : “C’est un classique chez les élus de droite quand ils sont condamnés par la justice. Ils remettent la légitimité des juges à juger. L’important, c’est le résultat de la cassation. Quand François Commeinhes dit qu’il veut la gagner, il ne peut pas. Soit il perdra, soit il ne gagnera pas.”

Ce n’est par hasard la maladresse de François Commeinhes

“Sur le fond, je la trouve crépusculaire à l’image de cette fin de règne, glisse le PS Sébastien Denaja. Il y entretient une confusion entre son destin et celui de la ville. Il y aura toujours Sète après Commeinhes. De plus, il nous y apprend que les sommes de ces primes illégales ont été remboursées. Je me demande bien quand. C’est quand même de l’argent qui a été volé aux Sétois.” De son côté, l’élu RN Sébastien Pacull tient “à ne pas jeter de l’huile sur le feu. Je préfère que ce soit un vote démocratique qui termine une carrière politique plutôt que la justice. Mais toutefois sur cette vidéo, comme d’habitude, ce n’est jamais la faute de François Commeinhes, c’est toujours celle des autres.”