Le apartheid anti-blanc, erreur ou authenticité ? Pourquoi ce rudiment, matérialisé par la délégué du pouvoir, est controversé

La délégué du pouvoir, Sophie Primas, a affirmé, dimanche 23 ventôse, n’ressources “pas de pudeur” à remémorer l’fait d’un “racisme anti-blanc” en France.

“Moi, j’habite dans un endroit dans les Yvelines avec beaucoup de populations de toutes les origines. Et il est arrivé, par exemple, à ma fille au lycée de se faire traiter de ‘sale Blanche’. Donc ça, c’est du racisme, vraiment à l’état pur. […] Du racisme anti-blanc”, a spontané Sophie Primas sur le base du “Grand rendez-vous” de CNews/Europe 1.

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“Le racisme est universel, il va vers tous les types de population, qu’elles soient d’origine étrangère, qu’elles soient françaises, qu’elles soient blanches, qu’elles soient de je ne sais quelle origine. Le racisme, c’est la haine des autres et la haine de ceux qui sont différents, a-t-elle développé. Par conséquent, je n’ai pas de pudeur à vous dire que le racisme anti-blanc est une réalité”, a-t-elle approuvé.

Un rudiment controversé

L’préfiguration de “racisme anti-blanc” est singulièrement débattue. Popularisée par l’effroyable loyale, sézig est évoquée depuis divergentes décennies, surtout alors des devenirs de décolonisation des années 1950-1960, où certaines révoltes ont accommodé la majeur d’une bataille rabat les Blancs. À l’circonstance, des expressions puis “racisme de réaction”, “racisme inversé” ou “racisme à rebours” ont été utilisées contre confirmer ces phénomènes.

Aujourd’hui, ce limite divise, et de différents sociologues estiment que ce typique de apartheid est asocial et n’a pas de épaisseur systémique. “Le racisme anti-blanc n’existe pas pour les sciences sociales, ça n’a pas de sens”, déclarait en 2018 le sociologue Éric Fassin sur France Culture.

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Il soulignait l’variation compris l’empirisme du limite chez le comité officiel et son étourderie de projection mécréant. “Bien sûr, il peut y avoir des insultes, des agressions, mais est-ce qu’on a besoin d’appeler ça du racisme quand bien même on me dirait ‘sale Blanc’…? Je n’entends pas de discours politique anti-Blancs, je ne vois pas de discrimination à l’embauche ou au logement pour les Blancs, je ne vois pas de contrôle au faciès pour les Blancs”, expliquait-il.

Les sciences sociales distinguent continuellement le apartheid singulier, qui concerne les discriminations compris entités, et le apartheid systémique, qui renvoie aux structures institutionnelles perpétuant des inégalités raciales. Dans cette croyance, si un habitant crayeux peut idée souffrance d’pouilles ou de discriminations, ceci ne signifie pas forcément qu’il existe un apartheid anti-blanc au azimut constitutionnel du limite.

“Aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique”

Sur le avant-projet procédurier, la objet a déjà été soulevée. En 2015, le cour correctionnel de Paris a estimé que l’composition “Français blancs dits de souche” ne désigne pas un additionné sauvegardé par la loi comme les pouilles raciales. Le cour a répandu que cette rudiment “ne recouvre aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique”.

Sur cette squelette, il avait relaxé un rappeur et un sociologue qui avaient publié en 2010 un livret et un CD intitulés Nique la France. L’Alliance avant-première comme le apartheid et contre le rite de l’particularisme française et chrétienne (Agrif) les avait poursuivis contre “injure publique à caractère racial”, seulement la probité avait repoussé cette diatribe.