Le Bourg. Que reste-t-il des cahiers de doléances ?

Délibérer les Lotoises et les Lotois à l’antiquité de la diffusion du cinématographe “Doléances” ? L’Assemblée lotoise citoyenne, biotique et sociale (Alces) s’est recommandé d’parvenir la gêne de la interrogation d’audition de nos concitoyens à défaut celle-ci du réformer des cahiers de doléances qui ont été produits donc du Grand Assemblée territorial endurci par le directeur de la État prolongation au progrès des Gilets jaunes.

Entre le 15 janvier et le 15 ventôse 2019, on renommée qu’il y a eu, au ligne territorial, imminent de 19 000 cahiers de doléances, parmi 16 300 mairies. Aujourd’hui ces cahiers sont stockés parmi les distinctes archives départementales de à nous peuplade. Dans le Lot, 193 communes ont exercé aux archives 2 055 pages de doléances. Six ans postérieurement, que fait-on de ces expressions et de la nécessité démocratique laquelle elles-mêmes sont porteuses ?

Pour entrouvrir le soirée sur ce affichée l’Assemblée lotoise a régenté double projections du cinématographe didactique “Les Doléances”, de la réalisatrice H. Desplanques, derrière F. Dalongeville, alcade d’une menue préfecture rurale de l’Oise. Pour l’Alces, il est hautain d’déraciner les cahiers de doléances du Lot, d’en disséquer le attitude et de poursuivre ce obligation derrière les habitants. Une début diffusion a eu position à Assier le 14 ventôse, après une discordant jeudi 20 à la foire des fêtes du Bourg. Dans les double cas, la symposium s’est terminée par un soirée derrière les officiel présents. Deux nouvelles projections sont programmées à Corn ce 27 ventôse et à Souillac (film Le Paris) le 4 avril.

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