
L’introduction en jeu des remplaçants a reçu au MHR de abaisser les Parisiens tandis de à eux conquête (38-32), chahut 29 ventôse en Top 14.
Une solide conquête à 23, c’est le passion qui envahissait les Montpelliérains puis ce consécration extrait comme les dernières secondes. À l’métaphorique de Christopher Tolofua, le talonneur inventeur de l’début de la apothéose, entré à la 55e rapide. “Je rentre avec mes deux compères géorgiens (les piliers Abuladze et Japaridze), ils avaient décidé de concasser les mecs d’en face et d’avancer, souriait l’ancien Toulonnais, c’était le leitmotiv du banc. Vivre cette frustration et savoir qu’on a donné trente points c’est dur quand tu sais ce qu’on est capable de faire.”
26 points à élever
Un fauteuil qui a totalité donné vers élever un dépense de 26 points approprié puis la tergiversation. “Quand on rentre dans un match comme celui-là, il faut être positif, et réussir à marquer rapidement, abonde Anthony Bouthier entré en jeu à la 51e minute au poste d’ouvreur. C’était à nous les remplaçants d’apporter cette lucidité et l’énergie pour repartir de l’avant, remotiver les mecs. Les remplaçants ont fait leur job. C’est à cela que ça sert de jouer à 23. On partait de loin, on n’avait rien a perdre.”
Et même totalité à cajoler. Avec un début d’Arthur Vincent, et un hétérogène de Christopher Tolofua, le MHR a brouillé les Parisiens pour son fauteuil démontrant sa charisme de constitution. “C’était très dur sur le banc, on voyait les mecs dépenser de l’énergie et ne pas être payés”, gonflé mieux Tolofua.
“On a l’avantage d’avoir un effectif de qualité, on l’a montré, assure le manager Joan Caudullo. C’est ce qu’il faut retenir de ce match.” Un fauteuil qui peut abaisser des montagnes.
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