“Le manque de dialogue des dirigeants plombe l’enthousiasme général”, juré Thierry Rouanet, le administrateur des Brennus, canne de supporters de l’ASBH

Autour d’un buffet, Thierry Rouanet, le administrateur de l’incorporation des Brennus, incorporation de supporters de l’ASBH, récit le lieu sur son canne de cœur et regrette le loupage de aparté des originaux dirigeants.

L’ASBH, ses nation, son fait, son cheminement, ses joies, ses réussites, ses peines, ses sévices durs… Au intime, une conflit du cœur de Thierry Rouanet bat en fidélité au alternance du rugby biterrois. Alors que se profile la dernière file sincère de la durée de Pro D2 et que son canne amulette voit atteindre le ruée suprême menant en dessous les projecteurs de la palier conclusion du compétition, le administrateur des Brennus, incorporation de supporters de l’ASBH, a des difficultés à se croquer en dessous un étoile éclatant.

Comme infiniment de fans du canne biterrois, il domicile irréligieux relativement à l’destinée touchant du canne qui l’a récit renvoyer même oncques la durée défunte et a les atouts contre illuminer cette cycle pour. Ce n’est pas environs les joueurs que se tourne le animateur de échappé des Brennus purement environs la écho gouvernance de la SASP, escortant lui ressources marre silencieuse relativement au manoeuvrer du canne : “Avec les anciens dirigeants, il y avait beaucoup d’interactions et d’échanges, explique Thierry Rouanet. Avec les nouveaux, il y a un grand manque de dialogue. Quand ils ont repris le club, nous étions très séduits par eux et leur avons demandé une rencontre afin qu’ils se présentent et nous présentent exactement leurs projets. Ils sont arrivés en novembre. Nous sommes presque à la fin de la saison et nous n’avons toujours pas de réponse.”

Les questions fusent

Ce, plus que les questions fusent à intégral va. Notamment en cette fin de compétition où sur d’divergentes fronts les clubs s’activent : “Pourquoi, par exemple, ne pas avoir pris de jokers médicaux pour remplacer certains joueurs cadres blessés, demande le président des Brennus. Est-ce parce qu’ils ont été refusés par manque de garanties financières du club ? Les gens s’interrogent. C’est comme le cas de Hans Nkinski. Le club a décidé de ne pas le faire jouer. Ok, mais pourquoi, alors ne pas avoir pris quelqu’un pour le remplacer ? C’est comme le recrutement, on n’en sait toujours rien alors que la majorité des clubs ont déjà achevé le leur. Sans citer de noms, que l’on nous dise au moins à quels postes il va y avoir des recrues.”

Un température de suspicion

Ces interrogations ont disposition à éveiller un température de suspicion au corsage des troupes de supporters. Alors que à elles peloton amuse le escarpé du avis, ils sont certains à goûter qu’sézigue n’détonateur pas fini de supporters au lice : “Le club est en passe de se qualifier une deuxième fois d’affilée pour la phase finale, ce qui n’est jamais arrivé à Béziers et contre Nevers, il y avait à peine un peu plus de 6 000 supporters, relève Thierry Rouanet. Alors que nous sommes dans la dernière ligne droite, ce n’est pas normal. Il devrait y avoir beaucoup plus de monde. On sent que les gens ont du mal à adhérer. Ce manque de dialogue a tendance à plomber l’enthousiasme général.”

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