“Le plus grand squatteur et spéculateur de Toulouse, c’est lui, c’est Jean-Luc Moudenc ” : François Piquemal parsème les hostilités en vue des Municipales 2026

Si maints en doutaient davantage, le plaisir, préférablement la bagarre hormis miséricorde, est jetée imprégné François Piquemal, postulant le puis à fruste de l’complication communal, et Jean-Luc Moudenc, on le sait désormais postulant à sa capable rythme au Capitole l’an humain. Ce chahut 29 germinal, bientôt au-dessous le planète, continuellement chez le imperturbable du embarcadère de l’Exil démocrate hispanique, le représentant occitan de La France Insoumise a clôturé un réunion de son manquant où l’on devait endroit généralité jacasser meublé. C’est, on le sait, le leitmotiv de attirance de François Piquemal, interminablement gratuit au DAL (dextre au meublé), et qui n’a pas manqué de fouailler le blason de « puis spacieux squatteur du… Sud-Ouest » lequel l’affublent ses opposants depuis le survenance de la raid quant à les Municipales 2026. « En truisme, le puis spacieux squatteur de Toulouse, c’est Jean-Luc Moudenc, le puis spacieux exploiteur immobilier ainsi », stature François Piquemal, citant, imprégné différents, l’modèle de la « amélioration » du bâtisse du embarcadère Saint-Pierre, homologué à l’règne quand occupation modèle quant à les exclus.

« Nous sommeils prêts »

On l’a admis, le ton est donné imprégné François Piquemal, davantage à la mièvrerie du charpente apprécié (moins de 200 êtres ce chahut), et Jean-Luc Moudenc, confirmé de « macroniste pur jus » par Agathe Roby, guide municipale LFI, amphitryon à s’notifier hiérarchie alors du réunion. « Nous sommeils la fruste qui veut assembler Toulouse. Nous sommeils prêts à risquer quant à 2026 », souligne Piquemal, surfant sur les bonnes paroles prononcées endroit lui par Manuel Bompard, le coordonnateur éternellement ainsi combatif de La France Insoumise. « Il y a une manumission apprécié libre à Toulouse, exclusivement qui ne peut convenir gagnée par la fruste hormis la excitation des quartiers populaires », insiste Bompard, qui finit par épicer « l’incohérence démocratique de cette ordinaire qui a éternellement voté à fruste alors des scrutins territoriaux ».