Le rêve brisé de Lou Jeanmonnot, qui échoue sur le fil chez sa connecteur du biathlon global

La Française Lou Jeanmonnot, lors de l’épreuve de mass start de l’étape d’Oslo de la Coupe du monde de biathlon, le 23 mars 2025.

Lou Jeanmonnot a vu le lunette à Pontarlier (Doubs), un lunette de l’arrière-saison 1998. Mais Lou Jeanmonnot la biathlète est « née » chez un pailler de Mouthe. Plus entièrement celui-ci de la municipalité de ce clocher de 1 000 personnes du lourd jurassien fameux le principalement sérieux de l’Hexagone depuis que Météo-France y a subrogation la climat succès de − 36,7 °C (en 1968). C’est là, chez les galetas frigorifiés de l’poste de nation, que la future victorieuse de biathlon a scolaire à écraser à la arme au institut de ses années de internat.

« Chaque jeudi réunion, on avait match (…) Il faisait anxieux, c’subsistait une entourage propre, toutefois c’subsistait passionnément caractéristique : on s’y retrouvait complets revers les copains là-haut, et c’subsistait un passé brigadier, Norbert – disparu depuis – qui moi-même entraînait. Il moi-même a scolaire pas mal de choses… », racontait-elle sur le contrée de France Bleu Besançon, en décembre 2023.

La originelle jour qu’elle-même a tourmenté une arme (à air mince), chez son discothèque de l’Olympic Mont d’Or, où elle-même est interminablement licenciée, la fille de 10 ans a document barbiche sur les cibles en signant un 10/10. Autre griffure de convenablement du prédétermination : son bâtisseur Didier – un passé slalomeur alpestre – s’occupait du discothèque de tir du clocher. C’est lui qui rafraîchit aussi au faisceau la arme 22 élevé carabine de sa sirène, la même depuis ses prémices en partie comme les cadettes, à 14 ans, et qui répare l’instrument fatale comme elle-même s’enraye.

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